Belles et de grand mérite

Oui, je sais : beaucoup pensent que le ralliement de la merveilleuse Marion est un atout supplémentaire par notre ami Le Z. Je veux bien : atout incontestable de charme et d’intelligence, Marion est une magnifique Walkyrie, une Athéna blonde à la fois guerrière et parangon de la raison. Mais bien malin serait celui qui pourrait affirmer sans risquer de se tromper qu’elle représente une pondération politique telle qu’elle pourrait faire pencher la balance des options en faveur de Z plutôt que de sa tante, laquelle ne vise rien de mieux que de se faire battre au second tour par le geai élyséen. Il est autour du Z d’autres femmes, dont Jacline Mouraud, celle qui d’un click a lancé la révolte, hélas matée dans le sang, des Gilets Jaunes. Femme de terrain, venue ex-nihilo et peut-être malgré elle, à la politique. L’extrême gauchisation des GJ par les manigances croisées de la macronie et de l’extrême-gauche en ont fait une « facho », terme vide et ridicule sortant de la gueule de vrais islamo-fascistes. Il n’empêche : elle représente les Gilets Jaunes historiques, qui existent encore, j’en suis, et qui n’ont rien oublié ni rien pardonné au malfaiteur de l’Élysée. Jacline est le Peuple au milieu des professionnels de la politique entourant Le Z.

Il existe bien d’autres femmes magnifiques, en-dehors de Reconquête !. Eloïse Benhammou, par exemple, auteur de Kleptocratie Française et profonde analyste des concussions, prévarications et autres méfaits des gouvernants. Valérie Bugault, accusée de « conspirationnisme » par les comploteurs, mais qui sait disséquer les rouages du totalitarisme hypocrite qui nous manipule. Lisez ses Raisons Cachées du Désordre Mondial. Marie-Estelle Dupont, psychologue avisée qui a montré les effets ravageurs de la « politique sanitaire » des abominables gouvernementaux. Bérénice Levet, pourfendant les ultra-féministes et autres wokes. La liste serait longue, et il faudrait y ajouter les « influenceuses » (quel horrible qualificatif !) telles Juliette Briens, Thaïs d’Escufont… Pardonnez-moi de ne pas citer toutes les femmes d’excellence, je ne nomme que celles qui me viennent à l’esprit illico.

Nous vivons dans un théâtre d’ombres, une ère de mensonge, de trahison, de manipulation, de totalitarisme. Qu’il s’agisse de l’épidémie, mystérieusement disparue des « zinfos », ou de la bagarre en Ukraine qui a pris sa place, c’est à qui racontera le plus de bobards sur les plateaux Pasbo de télévoyeurisme. Pour citer je ne sais plus qui, « Nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et ils continuent de mentir ! »

Soit. Mais il est des gens sensés qui s’en tiennent aux faits, et parmi eux une femme, encore : Anne-Laure Bonnel. Elle est très rarement sollicités par les médias de grands chemins, sauf lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement que de l’inviter, soit parce que la réalité dépasse trop leur fiction, soit pour faire mine de pluralisme. Elle a réalisé en 2015 un documentaire intitulé Dombass dans lequel elle a enregistré le malheur des populations Russes d’Ukraine soumises aux bombardements des pro-occidentaux. Maintenant, elle est revenue sur place où elle voit le même dénuement, la même angoisse, la même mort. Comme nous sommes loin des bobards de « l’Île du Serpent » et de la centrale nucléaire prétendue pulvérisée par les Russes. Je regarde non son profil, mais son visage dans l’éclairage précaire de la guerre : cette femme ne ment pas ! Si elle mentait, elle ferait la « une » du 20 heures en racontant ce qu’attendent les propagandistes. Honneur à elle !  Écoutez ce qu’elle dit sur Sud-Radio, naturellement chez Bercoff :

J’aime et je respecte ces femmes-là et je méprise les imbéciles « wokes » à cheveux bleus. Et je hais ceux que notre nouvel ami Antonio le Plâtrier traite, à juste titre, de « gestapettes ». Ces mecs-là sont sataniques.

Sacha