Pas de solution légale à l’équation politique tordue

mon-oeilLe globalo-fascisme est à l’offensive partout dans l’occident collectif. Chez nous, outre son caractère odieux, il revêt des aspects grotesques au point d’être cocasses.

Par exemple l’affaire Durov. Je ne sais pas si elle fait l’objet d’intérêt chez les déblatérroristes sévissant sur les chaînes TV des médias de grands chemins, mais elle tient encore la vedette sur les réseaux « sociaux ». Mon hypothèse est qu’il s’agit d’un coup monté avec l’aval et la complicité active du malfaiteur de l’Élysée. Le but étant probablement d’obtenir, pour le compte de la criminelle CIA, les clés de codage de Telegram. Accusations de ceci, de cela, de complicité de Durov avec les malfaiteurs utilisant son système – comme si SFR de Niel n’était pas utilisé par des réseaux pédophiles- pour essayer de camoufler des projets tellement cachés qu’on les aperçoit à l’œil nu.

D’une certaine manière, c’est à rapprocher de l’ignoble offensive d’un juge Brésilien contre le réseau X d’Elon Musk. Ce juge, par sa tronche, ressemble à Mussolini ou au juge De Moore, dans « Qui veut la peau de Roger Rabbit ». C’est que le régime gauchiste -donc fasciste- de Lula n’admet pas la critique ! Donc on interdit la plateforme où s’exerce encore l’autonomie d’expression. Mais l’on peut tout aussi bien penser au commissaire politique de la commission européâstre, Breton le naufrageur d’entreprises, qui, lui aussi, s’en prend à X. Nous pourrions multiplier les exemples. Dans sa déconfiture, l’occident collectif voit que son projet totalitaire de gouvernement mondial est en passe d’être vaincu, et il se défend unguibus et rostro. Ils appellent cela « démocratie ».

Naturellement, le très prévisible Foutriquet élyséen joue pleinement son rôle destructeur dans ces manigances mondialistes.

Mais chez nous, la farce commencée avec la dissolution de l’assemblée et poursuivie par des élections à « combinazioni » très IVe République (front crapulaire, « barrage » de castors écervelés) continue. Le petit Calligulaminus prend son temps pour nommer un premier sinistre. Le problème étant de fabriquer de bric et de broc un gouvernement qui ne serait pas illico viré par les députés. Donc, des faux-semblants, des manigances, une procrastination de façade. Et le chantage à la destitution de LFI qui voudrait imposer la Lulu de chez Hidaldingo, parangon du wokisme et de l’euro-atlantisme, comme premier sinistre.

Prenons les choses autrement. Il n’est nullement stipulé dans la Constitution que le président est tenu de nommer premier ministre quelqu’un de la majorité de l’Assemblée, même si, évidemment, l’appui du Parlement lui faciliterait la tâche. Il n’est même pas stipulé qu’il choisisse un élu. Ce qui, bien sûr, avec un tyranneau euro-atlantiste, reviendrait peut-être à choisir un eurocrate qui composerait un catastrophique « gouvernement technique ». Lequel, dans la pétaudière actuelle, se ramasserait une motion de censure au premier projet de loi.

Donc en apparence, la marge de manœuvre du Foutriquet  est bien ténue. En vertu de quoi, ledit tyranneau emploie une détestable méthode de IVe république : il « consulte » … les chefs de partis. Or dans l’esprit de l’inspirateur de la Constitution, le Général De Gaulle, le gouvernement doit être celui de la France, et non celui des partis. Il le faisait bien sentir aux ministres. Car, quel qu’il soit, un parti n’est que l’émanation d’une classe ou d’une coterie, il est le porte-parole et le quémandeur au nom d’intérêts strictement catégoriels. La France est bien au-dessus de ces minables prétentions déjà dénoncées par Bastiat dans La Loi sous le terme « d’égoïsme intelligent » et  de « fausse philanthropie ».

Pour le premier, « L’histoire en rend témoignage par les guerres incessantes, écrit Bastiat, les migrations de peuples, les oppressions sacerdotales, l’universalité de l’esclavage, les fraudes industrielles et les monopoles dont ses annales sont remplies. » Quant au second, « Lors donc que la Spoliation est organisée par la Loi, au profit des classes qui la font, toutes les classes spoliées tendent, par des voies pacifiques ou par des voies révolutionnaires, à entrer pour quelque chose dans la confection des Lois. Ces classes, selon le degré de lumière où elles sont parvenues, peuvent se proposer deux buts bien différents quand elles poursuivent ainsi la conquête de leurs droits politiques : ou elles veulent faire cesser la spoliation légale, ou elles aspirent à y prendre part. » L’observation du chaos d’aujourd’hui montre que les aspirations des partis sont égoïstes, chez les mondialistes, faussement philanthropiques chez leurs adversaires tout aussi mondialistes qu’eux.

Bref : sans doute le tyranneau élyséen cherche-t-il comment noyer le poisson, mais s’il cède à un parti ou à une « combinazione », une coalition provisoire de partis, ou s’il choisit un gouvernement d’eurocrates, il choisira pour nous entre peste et choléra. Coincé !

Mais alors, la destitution ? C’est une voie possible. Et sans aucun doute, nous serions tous contents de le voir partir. Le problème est « après ». Il ne manque certainement pas de candidats pour le remplacer, les vautours avides de pouvoir font des ronds dans le ciel, par exemple l’ancien premier sinistre de l’arnaque « covid », fort insistant. Mais cela ne fait pas l’affaire de la France. L’ « après » ne s’improvise pas, il faut un président au-dessus des partis, ayant de la droiture et un projet pour la France, quelqu’un pensant aux générations prochaines et non à sa réélection et aux intérêts partisans. Bref : un homme d’État. Il n’y en a dans aucun parti ayant des députés, et le petit nombre d’hommes répondant au critères de l’homme d’État sont en-dessous de l’horizon, occultés par la propagande des médiastres, attendant l’appel du peuple. Je consens à ce que le tyranneau soit démis, mais nous devrions appréhender la suite, dans la conjoncture actuelle.

Nous connaissons tous les maux qui nous frappent : le totalitarisme, la dette, la menace de mise en esclavage par l’UE et les mondialistes, la guerre et ainsi de suite. Et personne, dans la caste politichienne, n’est en mesure d’y faire face. Je ne vois que des hommes de parti, ne pouvant qu’empirer la catastrophe. Sale temps, si le peuple ne se réveille pas et n’appelle pas au pouvoir un homme d’État qui, opportunément, se ferait connaître.

Pour le moment, le discriminant de l’équation est inférieur à zéro : il n’y a pas de solution légale.

Raymond.

Share
Cette entrée a été publiée dans A la Une. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.