Captain Wreck, ou Le Capitaine du Naufrage

Des sondages pessimistes, une caste médiatique roulant obstinément à gauche, le miroir aux alouettes de l’économystique fonctionnant à fond pour plumer le peuple, tout laisse penser que la catastrophe est inévitable. Le retour des socialistes – ou plutôt l’accession des Terra-Neuviens – à la grande gamelle tient du fatum, de la malédiction qui pèse sur un peuple inconséquent. Alors, puisque l’on veut à toute force, dupé par d’irréalistes mensonges, précipiter la chute, nous offrons aux lecteur une marine, représentant le futur Capitaine du Naufrage à la barre.

S’il existait encore une Nation, si le peuple n’était pas abruti de dettes, de propagande ploutocrate, xénophile et francophobe, il ne laisserait pas même le vieux rafiot délabré continuer à dériver sur l’océan déchaîné. Il le remorquerait en quelque havre où, constatant que le bordé est décidément trop pourri, que les membrures sont disjointes,  le moteur essoufflé, il renoncerait même à le radouber. Il retrousserait ses manches, et construirait une nouvelle nef propre à affronter les tempêtes du monde.

Au lieu de cela, au péril de sa vie, l’inconséquent peuple s’apprête à confier la barre de l’épave à un timonier naufrageur qui a déjà coulé sa barcasse, la Corrèze en la précipitant contre un iceberg de dettes (plus de 1350 uros par tête !) A entendre le parti socialiste, c’est l’iceberg qui aurait tort !

Bon, celle-ci n’est pas piquée des vers, non plus :

Montre bien la prétention de l’oiseau !

Raymond.

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