L’élection « pestilentielle », comme la nomme fort justement notre Camorra, est désormais derrière nous.Voilà qui peut surprendre, puisque les deux clones du système cherchent à rameuter des voix pour la comédie du « second tour », et que les naïfs vont une fois de plus jouer le jeu qui tue notre Pays. Pourtant, elle est derrière nous, car, quel que soit le vainqueur, la Peste ou le Choléra, une même politique désastreuse, commencée sous Giscard et soigneusement poursuivie depuis, va continuer jusqu’au terme inévitable. Même obéissance aux oukases de la bureaucratie de Bruxelles, même servilité vis-à-vis du grand capital financier apatride, même empressement à servir l’ennemi civilisationnel.
La différence entre les deux variantes du système n’est qu’affaire de style. Sans doute le petit homme de l’UMP est-il plus au courant de l’état réel du pays, et ne chercherait-il pas à tempérer l’inévitable austérité et la pression fiscale par des mesures démagogiques. L’homonculus du PS cherchera à accompagner l’austérité d’une série de mesures démagogiques et ruineuses -notamment en augmentant le nombre des fonctionnaires, par définition improductifs- sans que l’accroissement de la prédation fiscale ne soit en mesure de compenser la dépense : l’Etat vivra toujours à crédit et la vie sera de plus en plus difficile, jusqu’à devenir insupportable. Dans les deux cas, la dette ira croissant, jusqu’à la banqueroute et la mise sous tutelle des « commissaires » (politiques !) européens. Le cas de figure à la Grecque est inévitable, simplement nous nous y trouverons réduits plus rapidement avec les socialistes.
Quant à l’ennemi civilisationnel, il a nettement choisi son camp, celui de ceux qui ouvertement le soutiennent et favorisent sa mainmise sur des pans de plus en plus larges du territoire national. En aidant les traîtres socialistes à s’installer aux commandes du bateau en perdition, il sait que son heure viendra plus tôt qu’avec l’usure laxiste d’un gouvernement UMP. Dans les deux cas, nous subirons de nouvelles lois scélérates interdisant non seulement toute critique de la religion du chamelier infernal, mais même toute velléité d’examen de la situation créée par l’invasion d’allochtones fanatiques. Ayant échoué à jeter l’anathème sur les légitimes interrogations des Français à propos d’un remplacement de population recommandé par le machin onusien et voulu aussi bien par la finance apatride, que par un certain grand patronat naguère dirigé par Parisot, que par son bras séculier Terra Nova, l’officine totalitaire inspirant le PS, il sera tout simplement interdit d’en parler. Attendons-nous à un surcroît d’arrogance de la part de l’ennemi réclamant l’application de sa maudite charia.
Je pourrais mettre en parallèle les styles des deux clones tristes dans bien d’autres domaines, par exemple celui de l’Ecole, détruite avec acharnement et qui va finir par n’être plus qu’une vaste garderie où l’endoctrinement idéologique prendra la place de l’instruction. Ah ! Les naïfs Français prennent une terrible responsabilité devant l’Histoire, en acceptant de jouer la carte forcée du second tour de l’élection ! C’est un vrai suicide !
Cependant, si tragique que soit l’avenir, il se trouve peut-être dans la configuration politique présente un ferment d’espoir. Mme Le Pen a réussi, alors qu’elle était candidate pour la première fois, à totaliser un pourcentage de voix supérieur à celui de son père en 2002. Or cette fois, il y a quelque raison de penser que le vote pour cette candidate n’était pas de protestation, mais d’adhésion. Rien que dans mon petit village, elle a totalisé plus du quart des voix, dans une région qui depuis plus de cent ans constitue une « cité radieuse » du tout-socialisme. En parcourant la carte de la répartition des suffrages favorables à Mme Le Pen, on constate une coïncidence peu étonnante avec la densité de la population allochtone. Preuve que non seulement un terrible problème existe, mais que de plus en plus de citoyens en sont conscients et exigent des solutions nationales.
Je pense qu’il y a là une base solide de rassemblement des patriotes, l’espoir de la reconstruction d’une Nation sur les ruines du pays. A voir la tête des socialistes, si outrecuidants parce que sûrs de réussir leur hold-up, on les sent inquiets et pas sûrs du tout de pouvoir impunément exercer leur dictature morbide. Il en va de même du candidat résiduel de la droite européâstre et ultra-libérale. Je ne suis pas devin, mais j’ai bien l’impression que le conglomérat UMP risque d’exploser, et que sa fraction « bonapartiste », nationaliste (elle existe, si petite soit-elle) ira tout naturellement s’allier avec un Front National qui aura changé de peau, lequel constituera un pôle d’attraction pour les patriotes pour le moment épars et inorganisés. En somme, je pense que nous rencontrons les conditions objectives de la naissance d’une puissante force politique souverainiste, indépendantiste et laïque. De leur côté, les hommes du marais coassant iront rejoindre l’hurluberlu Bérou et collaboreront, activement ou passivement, avec les socialistes.
Il n’y aura pas assez de temps entre le 6 mai et le 10 juin, date du premier tour des législatives, pour que s’organise la résistance politique. Il est même probable que, les effets pervers des mesures gouvernementales n’ayant pas eu le temps de se faire sentir, les naïfs donnent au pitre qu’ils auront porté sous les ors de la République les moyens parlementaires pour accomplir son oeuvre destructrice. Je table, en effet, sur une période de dix-huit mois pour que les naïfs en question regrettent amèrement leur choix du 6 mai. Ce n’est pas une raison pour demeurer l’arme au pied. Il faut éviter que le système, quel que soit son homme de paille, bénéficie d’une « Chambre Introuvable » bleuâtre ou rosâtre. Les patriotes ne peuvent pas, dans les circonstance présentes, gagner une majorité parlementaire; au moins peuvent-ils chercher à limiter les dégâts en envoyant à l’Assemblée le plus grand nombre de députés patriotes qu’il est possible. Qu’il y ait des députés pour dénoncer la politique mortifère des gens du système, et fassent connaître leur arguments aux citoyens.
Disons-le franchement : si nous trouvons dans les professions de foi des candidats de la droite nationale au moins la moitié des points cruciaux suivants, que nous avons déjà exposés dans un article précédent (voir le rappel de ces points en fin d’article), j’appellerai à voter pour ces candidats, et notre Camorra fera de même. Il n’y a pas à tergiverser : « quand les blés sont sous la grêle / Fou est qui fait le difficile« , écrivait Aragon. Il faudra ensuite travailler à unir tous les patriotes, tout en multipliant toutes les actions, légales comme illégales, pour empêcher les tristes pantins de gouverner. Que dit ce chant monté du Pays, dans La Diane Française ? « Il dit que l’avenir est comme le charbon / Qu’il faut descendre au puits pour le sortir de terre« . Préparons-nous à descendre au puits.
Sacha.
Neuf principes :
1- L’économie n’est qu’un aspect des échanges, une conséquence du pacte social, et certainement pas le fondement de la convention qui fonde les sociétés.
2- Une société se forme moins par inclusion que par exclusion. En conséquence, elle ne peut pas consentir à intégrer davantage qu’un infirme pourcentage d’allochtones, contraints de se conformer à ses lois fondamentales.
3- La « mondialisation » est un leurre, inventé par les capitalistes apatrides. Nous n’avons pas à subir les causes de ce désordre, et encore moins à consentir à cesser d’être nous-mêmes en tant que Nation.
4- L’Etat doit être le serviteur des citoyens, et non pas leur maître. En conséquence, il doit être strictement ramené à ses rôles régaliens : Défense, Police, Justice, Diplomatie, Instruction publique, Recherche fondamentale. La régulation des pratiques économiques doit faire l’objet d’un article constitutionnel et son application doit relever de la Justice et non pas d’un ministère de l’économie.
5- Les richesses matérielles ne sont créées que par le capital et le travail. En conséquence, le capital doit être strictement consacré à la production de richesses au sein même du Pays. Spéculation et délocalisation sont des crimes contre la Nation. En outre, l’on ne peut consentir qu’un quota très réduit d’investissement étranger dans les entreprises nationales,et hors des secteurs d’importance stratégique.
6- La Nation doit être souveraine. En conséquence, elle ne saurait renoncer au plein exercice de sa souveraineté en permettant à l’étranger, et notamment aux organisations internationales, de lui imposer sa loi. Cette souveraineté implique notamment le droit de battre monnaie. Pour réaliser ces buts, il est indispensable de renoncer à l’Europe, à l’OTAN et à l’ONU.
7- Le principe de toute souveraineté résidant essentiellement en la Nation, il est normal que toute proposition de loi fondamentale ou modification de loi fondamentale soit soumise directement à l’arbitrage du Peuple par voie de référendum. Le rôle du Parlement doit être strictement réduit à se prononcer sur des dispositions techniques dans le cadre de l’application des lois fondamentales. L’exercice de la démocratie doit être le plus direct possible.
8- Quiconque reçoit le pouvoir en délégation du Peuple doit répondre sur sa tête et ses biens de l’exercice de son mandat.
9- La presse et les médias ne sauraient être autorisés à exercer des actions de propagande antinationale.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !