Vers la lutte de libération !

L’élection-référendum de Moldavie est un cas d’école pour qui observe comment l’hégémon Américain et ses valets de l’UE éludent la démocratie pour imposer leurs agents aux peuples asservis. François Asselineau détaille la manœuvre :

Naturellement, le chœur des pintades de l’UE et tous les médias pourris de l’occident collectif entonnent le péan habituel : « La Russie est intervenue pour acheter des voix ! » Salauds criminels ! Menteurs ! Nous pensons, nous, que la vérité est celle-ci : comprenez enfin que les potentats de l’occident collectif sont des agents de l’étranger, qu’ils ne vous veulent aucun bien, et qu’ils emploient une démocratie-Potemkine pour vous faire croire que vous avec choisi vos gouvernants, le « destin » de votre peuple, VOTRE destin, alors que tout est le produit d’une machination totalitaire. Autrement dit : vous vivez dans le monde du mensonge, les votes sont truqués, on vous trompe pour vous asservir.

Nous le disons depuis longtemps : pour recouvrer votre pouvoir inaliénable, pour sauver votre pays, votre famille, vous ne pourrez jamais plus recourir à des voies « légales » qui n’existent plus. La Résistance, malgré tous les risques et sacrifices qu’elle comporte, est votre dernier espoir.

Sacha, pour le collectif ChezRaoul.

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Remettons l’élection US à sa juste place

OLYMPUS DIGITAL CAMERALes médias de grands chemin et même ceux de la Dissidence sont obnubilés par l’élection Américaine : qui l’emportera de la dinde woke ou de l’homme d’affaires. Il n’est pas sûr que ce soit le cas de la Russie, de la Chine, de l’Inde, en général des pays de la nouvelle constellation BRICS, préoccupés à commercer entre eux. Non qu’ils jugent l’élection Américaine sans importance, mais ils la remettent à sa place. Car Harris ou Trump, si ce n’est pas tout-à-fait la même chanson, c’est au fond la même musique : conserver si possible l’hégémonie des États-Unis, ce que l’Asie et le Sud n’apprécient guère.

En Occident collectif, c’est fondamentalement la même sauce, notamment dans ce Goulag qu’est devenue l’UE, entièrement dominée par l’ « ami » Américain. Chez les européâstres, l’inquiétude est grande car le wokisme peut perdre l’élection, Trump siffler la fin de la récréation dans la guerre Ukrotano-Russe, renvoyer l’agressive Otan à la niche, et s’occuper des affaires intérieures des États-Unis en premier lieu. Si cela arrive, voilà nos européâstres orphelins, obligés de se débrouiller avec les conséquences de leur suivisme, la récession et la chute de leur monnaie de singe. Avec, pour nous autres Dissidents, la perspective éventuelle de voir l’état-profond Américain trouver refuge dans sa colonie ouest-européenne et sévir contre nous tout en préparant sa vengeance.

Certes, nous préférons Trump à l’idiote, laquelle ne serait qu’une marionnette entre les sales pattes des Obamaniaques et des néo-cons (plutôt archéo-cons, car leur doctrine ignore la réalité du monde nouvellement reconfiguré). Toutefois, il serait idiot et dangereux de considérer Trump comme le Grand Sauveur. Peut-être est il suffisamment avisé pour comprendre qu’il faut négocier avec Vladimir Poutine et Xi Jinping, mais il est inconditionnellement soutien d’Israël même si ce pays est gouverné par un psychopathe, et il voue une haine destructrice à l’Iran. Ce n’est pas une situation d’avenir ! Mais surtout, il entend bien faire de son mieux pour sauver l’hégémonie du dollar, donc le pillage des pays asservis à cette monnaie désormais de singe, et l’exportation insupportable des « lois » Américaines (appelées « droits ») qui permet d’exercer un chantage sur les pays en question.

Nous ne pouvons pas reprocher à Trump de servir son propre pays, ni refuser de lui souhaiter plein succès en politique intérieure (si toutefois les démocrates enragés et l’état profond ne réussissent pas à faire obstacle à son nettoyage des écuries d’Augias), mais il est souhaitable, s’il vient à être élu, de lui rappeler que de son slogan « Make America Great Again ! » ne doit pas s’ensuivre d’une politique hégémonique sur le reste du monde, sinon la paix et l’équilibre mondiaux seraient gravement compromis.

En somme, « Make American Great Again » :  So be it! But not the greatest, not the prima inter pares, not the suzerain, strictly on a par with all the others.(1) Car nous ne sommes plus en 1945 ni en décembre 1991. La donne mondiale a changé.

Raymond

(1) Soit ! Mais pas la plus grande, pas la prima inter pares, pas la suzeraine, strictement à égalité avec tous les autres.

 

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Éléments de verbiage ministériel

Hier, l’ami Sacha vous a expliqué ce que sont des éléments de verbiage, ce salmigondis de fragments de baratin que les politichiens assemblent à leur guide pour dire exactement les mêmes choses mensongères.
En écoutant ce matin l’excellent Jean-Dominique Michel, j’ai trouvé une séquence très illustrative de ce phénomène, que Jean-Dominique a fort à propos intégrée à sa vidéo.
Le montage est l’œuvre d’Iva Masson, abonnée de X, qui dit  des choses très intéressantes et dont je suis devenu « suiveur » attentif. Je vous recommande ses messages sur X. J’ai limité la lecture à la durée de la séquence, mais bien entendu je recommande la lecture intégrale de la vidéo de Jean-Dominique.

Au passage, ces euro-atlantistes osent se réclamer du « gaullisme » ! Si là-haut le Général entend cela, il doit bien s’amuser de voir les geais essayant de se parer des plumes du paon !

Antonio

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Éléments de langage, éléments de verbiage

cheveche-athena-smallUn petit malin s’est amusé à reprendre les discours d’installation des premiers ministres successifs. Beaucoup ont été surpris de constater que tous utilisent ce que l’on appelle les mêmes «éléments de langage ». Moi pas du tout, sachant que les politicards sont incapables de rédiger eux-mêmes leurs discours et font appel à des rédacteurs, sortes de robots de jactance, et cela s’aggravera s’ils font appel aux logiciels tels ChatGPT.

Ce que je conteste, c’est que l’on parle d’éléments « de langage » alors qu’il s’agit d’éléments de propagande, ou plus prosaïquement d’éléments de verbiage.

Car les éléments du langage, cela n’existe pas physiquement comme existent les briques du Lego. Il s’agit simplement de rapports formels permettant de constituer abstraitement du Signe au sens saussurien du terme. Il y a des traits qui rendent distincts par exemple le [f] et le [v] comme sourde/sonore et les opposent également à tous les autres éléments du registre ; ces traits sont des éléments différentiels. Et ils entrent dans les phonèmes, éléments séquentiels, de telle façon que l’on peut formellement contraster le « feu » du « vœu » ou le « fer » du « verre », par exemple. Cela c’est pour le signifiant.

Pour le signifié, l’élément différentiel est le sème qui définit des valeurs minimales oppositionnelles, exclusives les unes des autres. Par exemple « je les vois » et « je ne les vois pas » opposent l’affirmation à la négation (respectivement zéro et zéro / négation (ne) et négation(pas)). L’élément séquentiel, le segment -improprement appelé « mot »- est l’unité indécomposable mais qui peut être constituée de fragments : « livre » est un fragment non-énonçable seul, il est sous la forme d’un « mot nominal » : le livre, ce livre, un livre, pour ce livre-là etc.

Voilà les éléments de langage, purement formels, immanents car ils ne dépendant pas du dictionnaire d’une langue donnée mais se retrouvent sous les espèces des réalisations dans toutes les langues (rhétorique). Tous les hommes font du signe, donc des éléments de langage, mais ils les réalisent différemment dans la parole. Cela demanderait évidemment un très long développement, mais mon but est de détruire la sotte formule des « éléments de langage ».

Si je parle « d’éléments de verbiage », c’est parce que la rhétorique des personnages appelés très improprement « communicants » (en fait leurs postures sont tout sauf de la communication, ce n’est pas même de l’interlocution ) se réduit à une combinatoire que sait désormais faire ChatGPT -lequel ne fait pas de Signe- de fragments rhétoriques acceptés piqués dans le dictionnaire d’une langue. Exemple : le même verbiage en rouge peut être complété en vert ou le vert peut venir d’un autre personnage formaté à l’exemple du rouge.

 illustration-exemple

 Sacha

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Pas de solution légale à l’équation politique tordue

mon-oeilLe globalo-fascisme est à l’offensive partout dans l’occident collectif. Chez nous, outre son caractère odieux, il revêt des aspects grotesques au point d’être cocasses.

Par exemple l’affaire Durov. Je ne sais pas si elle fait l’objet d’intérêt chez les déblatérroristes sévissant sur les chaînes TV des médias de grands chemins, mais elle tient encore la vedette sur les réseaux « sociaux ». Mon hypothèse est qu’il s’agit d’un coup monté avec l’aval et la complicité active du malfaiteur de l’Élysée. Le but étant probablement d’obtenir, pour le compte de la criminelle CIA, les clés de codage de Telegram. Accusations de ceci, de cela, de complicité de Durov avec les malfaiteurs utilisant son système – comme si SFR de Niel n’était pas utilisé par des réseaux pédophiles- pour essayer de camoufler des projets tellement cachés qu’on les aperçoit à l’œil nu.

D’une certaine manière, c’est à rapprocher de l’ignoble offensive d’un juge Brésilien contre le réseau X d’Elon Musk. Ce juge, par sa tronche, ressemble à Mussolini ou au juge De Moore, dans « Qui veut la peau de Roger Rabbit ». C’est que le régime gauchiste -donc fasciste- de Lula n’admet pas la critique ! Donc on interdit la plateforme où s’exerce encore l’autonomie d’expression. Mais l’on peut tout aussi bien penser au commissaire politique de la commission européâstre, Breton le naufrageur d’entreprises, qui, lui aussi, s’en prend à X. Nous pourrions multiplier les exemples. Dans sa déconfiture, l’occident collectif voit que son projet totalitaire de gouvernement mondial est en passe d’être vaincu, et il se défend unguibus et rostro. Ils appellent cela « démocratie ».

Naturellement, le très prévisible Foutriquet élyséen joue pleinement son rôle destructeur dans ces manigances mondialistes.

Mais chez nous, la farce commencée avec la dissolution de l’assemblée et poursuivie par des élections à « combinazioni » très IVe République (front crapulaire, « barrage » de castors écervelés) continue. Le petit Calligulaminus prend son temps pour nommer un premier sinistre. Le problème étant de fabriquer de bric et de broc un gouvernement qui ne serait pas illico viré par les députés. Donc, des faux-semblants, des manigances, une procrastination de façade. Et le chantage à la destitution de LFI qui voudrait imposer la Lulu de chez Hidaldingo, parangon du wokisme et de l’euro-atlantisme, comme premier sinistre.

Prenons les choses autrement. Il n’est nullement stipulé dans la Constitution que le président est tenu de nommer premier ministre quelqu’un de la majorité de l’Assemblée, même si, évidemment, l’appui du Parlement lui faciliterait la tâche. Il n’est même pas stipulé qu’il choisisse un élu. Ce qui, bien sûr, avec un tyranneau euro-atlantiste, reviendrait peut-être à choisir un eurocrate qui composerait un catastrophique « gouvernement technique ». Lequel, dans la pétaudière actuelle, se ramasserait une motion de censure au premier projet de loi.

Donc en apparence, la marge de manœuvre du Foutriquet  est bien ténue. En vertu de quoi, ledit tyranneau emploie une détestable méthode de IVe république : il « consulte » … les chefs de partis. Or dans l’esprit de l’inspirateur de la Constitution, le Général De Gaulle, le gouvernement doit être celui de la France, et non celui des partis. Il le faisait bien sentir aux ministres. Car, quel qu’il soit, un parti n’est que l’émanation d’une classe ou d’une coterie, il est le porte-parole et le quémandeur au nom d’intérêts strictement catégoriels. La France est bien au-dessus de ces minables prétentions déjà dénoncées par Bastiat dans La Loi sous le terme « d’égoïsme intelligent » et  de « fausse philanthropie ».

Pour le premier, « L’histoire en rend témoignage par les guerres incessantes, écrit Bastiat, les migrations de peuples, les oppressions sacerdotales, l’universalité de l’esclavage, les fraudes industrielles et les monopoles dont ses annales sont remplies. » Quant au second, « Lors donc que la Spoliation est organisée par la Loi, au profit des classes qui la font, toutes les classes spoliées tendent, par des voies pacifiques ou par des voies révolutionnaires, à entrer pour quelque chose dans la confection des Lois. Ces classes, selon le degré de lumière où elles sont parvenues, peuvent se proposer deux buts bien différents quand elles poursuivent ainsi la conquête de leurs droits politiques : ou elles veulent faire cesser la spoliation légale, ou elles aspirent à y prendre part. » L’observation du chaos d’aujourd’hui montre que les aspirations des partis sont égoïstes, chez les mondialistes, faussement philanthropiques chez leurs adversaires tout aussi mondialistes qu’eux.

Bref : sans doute le tyranneau élyséen cherche-t-il comment noyer le poisson, mais s’il cède à un parti ou à une « combinazione », une coalition provisoire de partis, ou s’il choisit un gouvernement d’eurocrates, il choisira pour nous entre peste et choléra. Coincé !

Mais alors, la destitution ? C’est une voie possible. Et sans aucun doute, nous serions tous contents de le voir partir. Le problème est « après ». Il ne manque certainement pas de candidats pour le remplacer, les vautours avides de pouvoir font des ronds dans le ciel, par exemple l’ancien premier sinistre de l’arnaque « covid », fort insistant. Mais cela ne fait pas l’affaire de la France. L’ « après » ne s’improvise pas, il faut un président au-dessus des partis, ayant de la droiture et un projet pour la France, quelqu’un pensant aux générations prochaines et non à sa réélection et aux intérêts partisans. Bref : un homme d’État. Il n’y en a dans aucun parti ayant des députés, et le petit nombre d’hommes répondant au critères de l’homme d’État sont en-dessous de l’horizon, occultés par la propagande des médiastres, attendant l’appel du peuple. Je consens à ce que le tyranneau soit démis, mais nous devrions appréhender la suite, dans la conjoncture actuelle.

Nous connaissons tous les maux qui nous frappent : le totalitarisme, la dette, la menace de mise en esclavage par l’UE et les mondialistes, la guerre et ainsi de suite. Et personne, dans la caste politichienne, n’est en mesure d’y faire face. Je ne vois que des hommes de parti, ne pouvant qu’empirer la catastrophe. Sale temps, si le peuple ne se réveille pas et n’appelle pas au pouvoir un homme d’État qui, opportunément, se ferait connaître.

Pour le moment, le discriminant de l’équation est inférieur à zéro : il n’y a pas de solution légale.

Raymond.

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Paradoxe d’Épiménide et enfumage

cheveche-athena-smallBon.. L’hypnose des Jeux Macrono-Hildaguiens se dissipe peut-être peu-à-peu. Inutile de revenir sur les divers scandales, blasphèmes, mensonges propagandistes de ce barnum des « circenses » sans « panem », tout a été dit sur X et GETTR. E finita la comedia.

Inutile de développer sur le coup d’État permanent de Macron, les couinements du conglomérat gauchiste des « castors » essayant de faire nommer « premier sinistre » des interlopes de leur camp. Là aussi, tout est connu et le sage sait très bien que les euro-atlantistes et leurs maîtres milliardaires globalo-fascistes aiment l’aphorisme de Musset : « qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ». Peu importe le ministre pourvu que la politique reste fondamentalement identique. Trilatérale, Bielderberg, Davos obligent.

Je ne commenterai pas per se l’affaire de la vérole variole simiesque – dite plaisamment MoneyPox, c’est manifestement une resucette de l’arnaque « covid ». Ce qui m’intéresse est la mise en scène et le livret. Lors de l’arnaque « covid », la mise en scène était soignée, faux hôpitaux archi-pleins, malades frappés agonisant en pleine rue, graphiques élaborés à partir de statistiques bricolées, et ainsi de suite. Quant au livret, il était débité par des histrions de plateaux enrôlés par les médias de grands chemins. Ils refont le coup : « Gwendoline a les yeux verts » remplace « Isabelle a les yeux bleus ». On ouvre les placards, on ressort les vieilles bricoles corrompues comme Lacombe, on les époussette, ripoline, et, repimpées, on les relance à mentir sur les plateaux-pas-beaux.

Mais il y a tout de même un hic : l’OMS de Gates n’apparaît plus guère comme le parangon de la Science médicale (qui n’existe pas, car la médecine est un art, pas une science), et les faits, têtus, remontent à la surface sustentés par les circuits d’informations parallèles. Tout comme les bobards LCI de  l’OTAN ne font plus guère recette.  Le mensonge, cela fonctionne un temps, mais tôt ou tard il est rattrapé par la patrouille, par la vérité empirique des faits.

Mais voilà que je lis, sur X comme sur GETTR, que  les virus n’existent pas et que personne n’a marché sur la Lune. Diantre ! Concernant la Lune, j’avais depuis longtemps que des hurluberlus ayant un point commun avec cet astre -par exemple une de nos actrices gauchistes- avançaient cette thèse. Quant à la non-existence des virus, j’en tombe sur le séant lorsqu’elle est énoncée par des internautes habituellement « raisonnables ».

Ce n’est pas parce que l’on nous a bassinés et manipulés avec le SARS-Cov-19 que ce machin ne serait pas un virus. Son génome, et celui de ses descendants mutants, ont été séquencés systématiquement avec des outils précis et puissants. Son mode d’action et de transcription ont été décrits. S’il n’existe pas, alors, à quoi riment les séquenceurs ? Ces machines n’existeraient-elles pas, ou seraient-elles piratées comme de vulgaires machines à voter ? Moi qui ai étudié la biologie moléculaire, je sais bien que nos connaissances ne cessent d’évoluer en ce domaine et que vérité d’aujourd’hui sera erreur demain, mais enfin je vois bien qu’il y a un machin à brins d’ARN qui joue les pique-assiettes dans le ribosome cellulaire. Ou alors un habile charlatan m’en aurait-il persuadé ???

Bref : il y a là un hic. Quant à l’évènement interplanétaire du 20 juillet 1969, je m’en souviens, je l’ai vu sur le téléviseur de mon voisin, comme j’ai suivi sur celui de ma voisine l’odyssée d’Apollo 13 quelques années après. On me soutient merdicus mordicus que c‘était du flan et que tout avait été fabriqué en studio. Il y a même un documentaire, American Moon, qui essaie de démontrer cette thèse. Fort bien : après tout, en 1969, les Soviets dominant la course à l’espace, les Américains, au lieu de réaliser techniquement le pari de John Kennedy, auraient pu monter une superproduction hollywoodienne. Mais enfin, la fusée Saturn V a bien existé, on peut en voir une version au U.S. Space and Rocket Museum. Ah, me dit-on, et si c’était un faux ? Eh bien il suffit de disséquer la fusée, et on saura ! Comme pour le sexe de Brichel : l’analyse ADN dirait sûrement si c’est une XX ou un XY. Il faut être empirique pour vérifier les théories.

En fait, on ne connaîtra la fin de l’énigme que lorsque l’Homme ira -ou reviendra- sur la Lune, ce qui ne saurait tarder. Car les délires sur la consommation des ergols durant le voyage, ou encore sur la conversation téléphonique de Nixon avec les astronautes relèvent essentiellement, eux, de l’ignorance : les premiers parce que ceux qui les profèrent ignorent tout des lois de la gravitation, les seconds ne savent rien de la technique des transmissions radio. Il ne faut pas exagérer dans la sottise. N’empêche qu’il il a là aussi, dans cette aventure lunaire, un hic.

Le hic devrait conduire à l’attitude intellectuelle du sceptique : l’ἐποχή (epokhê) ou suspension du jugement, au moins jusqu’à administration empirique de la preuve. Mais s’il conduit à ne pas agir, il devient nuisible sauf en matière de morale où « dans le doute il vaut mieux s’abstenir » au lieu de risquer le péché.  Mais dans le cadre la guerre de « cinquième génération », où la guerre n’est pas seulement l’affrontement sur le champ de bataille, mais la fabrique du consentement par violation de l’esprit, le doute doit être combattu par ceux qui ont intérêt à asservir les masses.

L’esprit qui doute ne gobera pas les bobards genre « covid », « variole du singe », « dérangement climatique » et tutti quanti car il constate empiriquement l’usage politique totalitaire qui en est fait, l’inanité réelle des effets annoncés et la réalité des effets inavoués. C’est évidemment plus délicat lorsqu’il s’agit de matières scientifiques ou techniques, où l’obtention de la preuve demande un appareillage complexe dont l’absence hic et nunc peut aussi en différer l’administration. Voilà des domaines propres à fournir des hics dédiés à, tout simplement, faire douter du doute !

Il serait trop long de développer ici cette hypothèse, qui demande certainement une réflexion plus approfondie. Prenons donc un exemple imaginaire. Les collaborateurs de Herr K.S. constatent que décidément, de moins en moins de Déplorables (© Hillary Clinton) gobent le roman officiel -covid, vérole simiesque, vaccins ARN, dérangement climatique… – et que des faits viennent prouver en abondance que ces romans ne sont que mensonges.

Il faut donc combattre l’influence des « complotistes » qui alertent le peuple. Bien sûr les zélotes de K.S. vont essayer la censure, mais, Internet aidant, celle-ci est constamment battue en brèche. Et si l’on fabriquait de faux complotistes ? Il suffirait que ces agents-là fassent mine d’être des lanceurs d’alertes, qu’ils abondent dans le sens de la contre-propagande et captent la confiance des résistants. Ensuite il suffirait d’introduire dans leurs propos le doute concernant des faits cette fois scientifiques ou techniques, généralement admis mais présentés par les agents comme des faux ou des fabriques. Ce sont les hics dont je parlais. Ou bien les agents seraient crus, ce qui ne serait pas rentable, ou bien ils seraient illico considérés comme traîtres, ce qui serait un peu plus rentable, car ils installeraient la zizanie dans le camp des résistants, ou bien l’on douterait de leurs propos, c’est-à-dire que l’on installerait le doute sur le doute.

Et là, ce serait rentable, car le résistant Lambda ne serait plus en mesure de départir le vrai du faux et donc soit suspendrait son jugement, soit confronté à un raisonnement en boucle – ça peut être vrai, ça peut être faux, mais si c’est faux ça peut être vrai, mais si c’est vrai ça peut être faux et ainsi de suite- finirait par être enfermé dans une sorte de paradoxe d’Épiménide le conduisant à suspendre son jugement à l’infini, voire à laisser le mérinos à sa légendaire diurèse, soit à renoncer à agir ou réagir. Par lassitude ou dépression. Ainsi un coup sévère serait porté à la résistance.

Je ne sais pas si nous avons affaire à ce genre de plan diabolique (le Diable est l’esprit malfaisant qui sépare !) mais la négation des virus et des voyages vers Séléné me le fait subodorer. Ce que raconte American Moon -réalisé par d’anciens réalisateurs hollywoodiens- me fait penser à la mise en abyme du théâtre dans le théâtre, qu’illustrait très bien ce passage de Who Frames Roger Rabbit (« Qui veut la Peau de Roger Rabbit » en version française) dans lequel le Lapin, manipulant à toute vitesse les photos de la scène entre Jessica et Marvin Acmé, prises par Eddy Valliant, recrée le dessin animé dans le dessin animé. Et le Lapin a raison : « Ve n’peux pas vy croire ! », car la preuve d’une manipulation criminelle sera faite ultérieurement.

Bon, voilà. Vous pouvez admettre ou non mon hypothèse, mais, méfiance ! L’ennemi est assez rusé pour essayer de nous enfermer dans le paradoxe d’Épiménide pour mieux nous enfumer !

Antonio

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Paris laboratoire du totalitarisme

la-corde-du-penduLeurs JO politiques sont bel et bien dans l’esprit de KlauSS SSchwab et des nazis mondialistes. Nous en reparlerons. Pour le moment, Slobodan Despot (https://x.com/despotica) publie sur Antipresse, la traduction de la mise en garde de @gro_tsen destinée aux étrangers, sur la dystopie policière installée à Paris en prévision des #JO2024 .
Nous relayons.

JO: Paris en état de siège

Témoignage du mathématicien franco-canadien @gro-tsen à l’adresse des étrangers et des non-francophones au sujet de la situation à Paris. C’est la vue d’ensemble la plus claire et la plus inquiétante que nous ayons lue jusqu’ici.
Je pense que les lecteurs non francophones et non francophiles devraient être informés de la folie qui règne actuellement à Paris et dans ses environs à cause des Jeux olympiques. La cérémonie d’ouverture aura lieu dans une semaine et l’accès à la Seine a déjà été interdit !

Les différents niveaux des périmètres de sécurité sont incompréhensibles, mais en gros, toutes les zones situées à moins de 100 mètres de la Seine sont désormais totalement interdites. Vous ne pouvez vous y rendre, même à pied, que si vous y habitez ou y travaillez, et vous devez obtenir un permis spécial à l’avance.

L’obtention de ce permis n’est pas acquise : apparemment, certaines personnes ont vu leur demande refusée (sans explication), et ne sont donc pas autorisées à se rendre sur leur lieu de travail, ni même sur leur lieu de résidence. Personne ne sait ce qui est censé leur arriver.

Par ailleurs, un hôpital se trouve dans ce périmètre interdit, et certaines personnes y reçoivent des soins vitaux. Les patients peuvent demander une autorisation, mais celle-ci n’est pas automatiquement accordée.

N’oubliez pas qu’il s’agit d’une semaine avant la cérémonie d’ouverture (pourquoi faut-il fermer toute la zone quelques jours avant la cérémonie ? personne ne le sait !) Pendant la cérémonie elle-même, l’accès à l’hôpital sera totalement interdit à quiconque. C’est de la folie !

Bien sûr, ce n’est pas la seule restriction. Autour de cette zone interdite « anti-terroriste », il y a une zone « rouge » beaucoup plus grande qui est « seulement » fermée à tout trafic routier. Ce n’est pas aussi catastrophique, mais si vous êtes une entreprise ou si vous avez besoin de faire livrer quelque chose, vous aurez de gros problèmes.

La zone « bleue », encore plus vaste que la zone rouge, est fermée à la plupart des routes, mais pas à toutes. En outre, la plupart des autoroutes reliant Paris à la banlieue ont des voies spéciales « Paris 2024″, réservées aux officiels des Jeux olympiques, y compris le périphérique. Si vous avez vu à quel point la circulation est difficile sur le périphérique en temps normal, même en été, essayez d’imaginer cela avec une voie fermée à la plèbe : ouais, c’est l’apocalypse totale !

Peut-être ne conduisez-vous pas de voiture (à Paris, c’est une mauvaise idée, si vous pouvez l’éviter) et préférez-vous prendre les transports en commun ? Eh bien, surprise : de nombreuses stations de métro sont également fermées. La liste est incompréhensible et illogique.

Certaines ont été fermées bien avant les Jeux olympiques, et personne ne sait pourquoi : La station « Concorde » est fermée depuis le 17 JUIN, et il n’y a eu aucune explication sur la nécessité de fermer si tôt.

Et quand ils ferment une station, cela ne signifie pas seulement que vous ne pouvez pas y monter ou en descendre : vous ne pouvez même pas changer de ligne à cet endroit – pour on ne sait quelles raisons. Le métro parisien est donc aujourd’hui un labyrinthe incompréhensible de lignes déconnectées et de stations fermées au hasard, qui change tous les jours.

Le jour de la cérémonie d’ouverture, les choses seront encore plus folles : tous les avions sont interdits de décollage d’atterrissage ou de vol près de Paris, TOUS LES TRAINS ont même été annulés. En fait, la cérémonie d’ouverture aura l’effet d’un essai de bombe nucléaire à l’échelle d’une ville.

Par ailleurs, des barrières ont commencé à être érigées un peu partout dans Paris. Personne ne semble savoir exactement à quoi elles servent. Et si vous êtes en fauteuil roulant, tant pis pour vous.

Et bien sûr, ce n’est pas tout : il y a des policiers partout dans Paris, et les autorités ont déployé des caméras de sécurité à grande échelle et un système expérimental de vidéosurveillance basé sur l’IA qui rendrait le président Xí jaloux.
Et comme toutes les réserves de la police française sont mobilisées à Paris, toute manifestation de grande envergure autre que les Jeux olympiques est impossible : de nombreux festivals de musique ont donc été annulés, non seulement en région parisienne, mais dans toute la France.

Je ne vais même pas parler du coût des jeux, car ce n’est pas vraiment mon propos ici : mais j’aimerais rappeler que la France est déjà lourdement endettée, et que les finances de Paris sont alarmantes, et que nous n’avions vraiment pas besoin de ce fardeau supplémentaire.

Lors de sa campagne électorale en 2014, l’actuelle maire de Paris, Anne Hidalgo, a déclaré qu’elle ne souhaitait pas que la ville se porte candidate à l’organisation des Jeux. Pour une raison ou une autre, elle a changé d’avis peu après avoir été élue, et un certain nombre de Parisiens qui l’ont élue en sont quelque peu mécontents.

Depuis des mois, les autorités organisent des campagnes publicitaires invitant les Parisiens à se «préparer à l’avance» à la tenue des jeux. En gros, cela signifie : essayez de quitter Paris pendant l’été ou, si vous devez y être, restez chez vous et travaillez à distance. (Et ne vous faites pas livrer).

Donc, maintenant que nous devons payer des milliards pour accueillir un grand spectacle commercial auquel nous ne sommes absolument pas invités, on nous dit de quitter la ville ou de rester à la maison (et aussi de ne pas être malades) pendant cette période. Comme vous pouvez l’imaginer, tout le monde n’est pas très content de cette affaire.

Fil original sur Twitter traduit de l’anglais par Slobodan Despot

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Domine, salvam fac Galliam !

diablesse-et-angeline-aux-armesConstatons : les européâstres couinent comme putois qu’on égorge parce que Viktor Orbán, exerçant la présidence tournante de l’UE, a rendu visite au Zézé nazillon de Kiev et à Vladimir Poutine, faisant ainsi une tentative méritoire de semer quelques graines de paix. Je ne sais pas ce que les responsables Hongrois et Russe se sont dit, nous en saurons sans doute davantage dans les jours qui viennent. En revanche, l’ex-président d’Ukraine, le fantoche des euro-atlantistes et des nazis, persiste à camper sur des positions intenables en raison de l’usure progressive de l’armée ukrainienne.

Car les commissaires apatrides de Bruxelles ne veulent pas entendre parler de paix. Il ont trop de bas intérêts, ils sont totalement inféodés aux globalo-fascistes et à l’État-profond d’Amérique pour avoir une compréhension du nouveau rapport des forces à l’échelle mondiale et adopter une attitude pragmatique. Leur soutien au fantoche de Kiev s’inscrit dans une stratégie globale de destruction des nations de la vieille Europe afin d’établir un système fédéral dont, faut-il le rappeler, le Général De Gaulle, avec raison, ne voulait pas et dont nous ne voulons pas non plus, pas plus que n’en veulent d’autres peuples captifs de l’UE.

Telle est la recette pour vendre la guerre et s’acheminer vers la ruine. Car la Russie a des soutiens et des alliés par le monde, et constitue la noix sur laquelle l’occident collectif finira par se casser les dents.

L’autre fait marquant est que dans cette Angleterre encore insuffisamment libérée de l’UE, le vieux parti Conservateur, celui d’un Johnson va-t-en-guerre, s’est effondré. Le retour des Travaillistes ne constitue certes pas une bonne nouvelle, car ils sont tout autant atlantistes que leurs adversaires séculaires, et qu’une administration gauchiste ne vaut rien pour un pays. Réjouissons-nous toutefois du succès du nouveau parti de Nigel Farage ! Ah ! SI nous avions un homme d’État comme Farage !

Dans ce contexte, que devient la malheureuse France ?

La semaine qui vient de s’écouler est cataclysmique. Le monde, médusé, a pu contempler le spectacle à la fois dramatique et grotesque des deux blocs de l’anti-France, l’extrême-centre macronique et l’ultra-gauche mélanchoniste, se livrer à une cuisine de sorcières, mélangeant dans le chaudron maléfique fanatiques et traîtres, repris de justice et fichiers S, antifas fascistes et escrolos pastèques, émigrationnistes de tout poil acoquinés aux islamistes, le tout ajouté à de la graisse de momies ressuscitées pour la cause, des Hollande, des Cohn-Bendit, des Strauss-Kahn et tutti quanti. Tambouille infâme ! C’est un retour au chaos de la IVe république, aux « apparentements terribles », chaos auquel le retour du Général mit fin en 1958. Tout cet embrouillamini néfaste, ce front crapulaire, ce florilège de mensonges et de compromissions, n’a qu’un but : « faire barrage ». Comme cela se fait depuis des lustres, compromettant davantage à chaque fois la survie de la France.

Je ne sais pas ce qu’il en sortira : « grande coalition », gouvernement de technocrates, cohabitation… Mais ce qui est sûr, c’est que la France est en grand danger et que se profile une dictature de la troïka européastre comme en a subi la Grèce, ou d’un ramassis gouvernemental totalitaire. N’entend-on pas rappeler par l’imbécile Sandrine R* qu’après tout, la confiscation de l’épargne des Français pourra bien servir à combler la dette cosmique provoquée par la politique infâme de l’anti-France. La kleptocratie n’est, après tout, qu’un aspect du totalitarisme.

C’est dire que demain chaque vote, ne représenterait-il qu’un quarante-millionième de volonté populaire, comptera. Ils font barrage ? Soyons les bombardiers de l’escadron 617 de la RAF, les « Briseurs de Barrages », soyons le bélier qui défonce la porte de la prison à ciel ouvert ! Nous autres, notre Camorra, ne voterons pas positivement pour un  RN dont les abandons sont inacceptables, mais  négativement contre le front crapulaire de l’anti-France, contre l’UE.  Autrement dit : l’Histoire oppose le RN à l’anti-France, et nous mangeons notre chapeau, donc voterons RN.

Quoi qu’il en soit, il ne sortira rien de bon de tout ce micmac, même si les créateurs de Macron, les Frankenstein tels Attali, Minc, constatent qu’il faut désormais « s’occuper » de la créature qui leur échappe : la bourgeoisie et sa haute finance ont toujours plusieurs fers au feu et disposent d’autres chimères à imposer aux naïfs.

Donc, soyons prêts à toute éventualité : l’heure du face-à-face arrive, armons-nous et pas seulement de ruse politique.

Domine, salvam fac Galliam !

L’Imprécateur

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Il ne nous reste pour choix que la guérilla de libération.

europe-casque-a-pointeAvant-hier, notre ami l’Ange Gabriel  exposait l’analyse de la situation politique dans cette entité provinciale de l’UE que l’on appelle encore « la France ». Je ne puis qu’être d’accord avec lui, puisque telle était l’analyse faite par notre Camorra, élaborée au cours de réunions auxquelles j’ai participé. Il était question des mesures révolutionnaires mais de bon sens (inspirées par Charles Gave) que devrait prendre un gouvernement pour nous sortir de la trappe à dettes et de la tyrannie des technocrates euro-atlantistes.

Je veux mettre un bémol : cela ne sera pas. Pour que cela advienne, il faudrait beaucoup de conditions, toutes nécessaires mais aucune suffisante, qui ne seront jamais réalisées. (1) Qu’une majorité absolue soit donnée au RN, ou du moins que d’autres partis entrent en coalition avec lui. (2) Que le premier ministre RN soit entouré de personnes d’expérience et compétentes. (3) Que le RN renonce à ses options euro-atlantistes. (4) Que ce gouvernement soit assez courageux pour ne jamais céder aux aboiements de la presse de grands chemins, du centre mou, de l’extrême-ultra-gauche, de la commission de Bruxelles, de la cour européenne de justice, et aux pressions des Américains.

L’on voit bien que c’est irréalisable. Et tel est bien le calcul de Macron ; il ne faut pas croire qu’il ait concocté sa dissolution sur un coup de colère entre deux raies de schnouf, au contraire il a vicieusement manigancé l’affaire à l’avance. Sachant qu’il a atteint dans l’opinion un haut degré de détestation, il savait que sa liste allait perdre durement ; en conséquence, il a nommé une malheureuse maladroite en tête de liste, et fait mine de craindre le jeune Bardella,  le leurre de son plan B agité devant les citoyens poissons rouges.

Cela a fonctionné. D’autant mieux qu’il dispose en réserve d’un autre leurre, actif, celui-ci, le dénommé Glücksmann, agent au passé trouble des Américains, qui a réactivé le Parti Socialiste zombie. Celui-ci est l’élément du plan C, dont le rôle est (1) de donner au « nouveau front populaire » assez d’étoffe pour constituer une minorité suffisante d’extrême-gauche à l’Assemblée, (2) minorer le poids de LFI (qui finira par être pulvérisé).

Il faut donc s’attendre à une division de l’Assemblée en trois coteries d’importance sensiblement égale. Cela convient bien à Macron dans la mesure où un hypothétique Premier Ministre issu du RN, tel le jeune Bardella, aurait contre lui Macron soi-même (lequel pourrait exciper du « domaine réservé » pour contrecarrer toute mesure de Matignon), le Marais coassant des macronistes et le Frente Crapùlar. La France serait alors ingouvernable. Le même résultat serait obtenu si une quelconque des trois coteries produisait un premier-ministre fantoche.

Dans ce cas, Macron pourrait fabriquer un gouvernement de « techniciens » (technocrates) pour expédier les affaires courantes à coups de 49-3. S’y ajouterait probablement le chaos provoqué en actionnant en sous-main les extrême et ultra gauche de telle manière que le matois psychopathe de l’Élysée pourrait éventuellement recourir -même sans vrais motifs- à l’application de l’article seizième de la Constitution pour asseoir un temps sa dictature. Quoi qu’il en soit, Macron verrait s’ouvrir la voie royale pour son ultime trahison, l’asservissement définitif de la France dans le conglomérat fédératif de l’UE. Et le pouvoir Législatif n’y pourrait rien parce qu’inexistant.

Car tel est l’objectif final : la disparition de la France en tant qu’État-Nation au profit de l’entité globalo-fasciste UE, créature de la CIA, valet de l’OTAN.

Alors nous voilà spectateurs désabusés d’une comédie grotesque, donnée dans un théâtre d’ombres érigé sur les ruines de la France. Lorsque nous disons que la France est en danger, ce n’est qu’un euphémisme : elle est, réellement, à l’agonie. Trop peu s’en aperçoivent. Et il est peu probable qu’elle puisse, par  miracle, ressusciter des morts.

Ce ne sont donc pas les votes qui sauveront le pays D’autant moins que des indices de trucage – par exemple à ce jour, dit-on, 700 000 « procurations » de vote- apparaissent ici où là. Non que Macron veuille faire de son Marais une majorité (là, le trucage serait trop évident, mais avec lui il faut s’attendre à tout), mais parce qu’il espère « rééquilibrer » l’Assemblée entre tiers inconciliables.

Que nous restera-t-il à faire ? C’est la question que se posa en 1940 celui qui allait devenir chef des Maquis en Haute-Vienne, Georges Guingouin. C’est celle que nous posons à nouveau. Puisque le système est bétonné de telle façon qu’aucune issue légale n’existe, il n’y a plus qu’une voie possible : la guérilla de libération. Au commencement l’on est seul, puis en vient un autre, puis un autre, et malgré les coups sanglants de l’ennemi, les difficultés, les privations, quatre ans après (ou vingt ans), l’on se trouve à l’effectif d’une brigade, pour combattre aux côté d’autres brigades. C’est à cela, citoyens, compagnons, camarades, que nous devons consentir et nous préparer. Pour l’indépendance, la souveraineté et la paix.

Sacha

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La France en danger

cheveche-athena-smallDonc.. Macron nous a balancé, il l’avoue, une grenade dégoupillée dans les pattes, pour voir, ce pervers, comment nous allons nous débrouiller. Le moins que l’on puisse dire est que nous sommes dans une sacrée panade. Commençons.

D’abord le tableau général des résultats du 09/06/24 :

tableau-1-090624

En ajourant blancs et nuls aux abstentions, on obtient 49,9549512%, soit presque le pourcentage des exprimés. Maintenant, regardons les pourcentages réels obtenus par les chouchous des médias, en rapportant leurs voix au pourcentage des inscrits :

tableau-2-090624Sources : Ministère de l’Intérieur, LégiFrance.

Voilà qui remet les pendules à l’heure. Observations : a) Le pourcentage de Glücksmann, clairement agent des USA (voir son passé !) est très inquiétant. b) ces listes résolument euro-atlantistes représentent au total 44% des inscrits ce qui indique que le matraquage type arnaque-covid & changement climatique & méchants Russes fonctionne encore très bien et que ceux qui se sont exprimés sont loin d’admettre la nécessité du Frexit. Il reste à savoir ce que pensent de cette question cruciale les 48,5% d’abstentionnistes, mais fou serait qui émettrait des hypothèses là-dessus.

Analytiquement, la situation héritée de la dissolution est compliquée. L’euro-atlantisme pourrait bien n’être qu’un effet d’écrantage cachant une division réelle de la population en trois blocs antagonistes :

-         Une extrême gauche totalitaire, d’idéologie terroriste en ce qu’elle se réclame de Robespierre et de la Terreur et qu’elle pactise avec l’extrémisme des frères musulmans. Tout le méli-mélo du décolonialisme, de l’extrême féminisme, du lgbêtisme, de l’écologie politique, du racisme anti-blancs, de l’anti-spécisme, et j’en passe sûrement, se retrouve dans ce fourre-tout de « convergence des luttes » parfaitement unis dans l’aspiration au chaos et ne rêvant que de goulag, mais invariablement soumis à des querelles internes de ligne idéologique. Leur « nouveau front populaire » est un salmigondis de partis et groupuscules dont le seul but est la conquête du pouvoir, les contradictions (par exemple le ralliement de Glücksmann, pro-sioniste, à un conglomérat résolument pro-Palestinien) étant provisoirement tenues pour négligeables.

-         Un extrême-centre mou autour de Macron et des partis macron-compatibles tels le Modem, les « barons » rescapés des Républicains et ainsi de suite. Ce bloc n’est pas moins totalitaire que le précédent, mais il l’est différemment. Euro-atlantiste comme un forcené, il représente le parti de l’étranger si bien évoqué jadis par le Général De Gaulle, et regroupant des « Français reniés » ainsi désignés par Sainte Jehanne d’Arc. Ce sont précisément ces gens-là qui ont emprisonné la France dans le conglomérat de l’UE, donc détruit peu-à-peu l’économie, les lois, l’indépendance et la liberté de la France, et qui entendent l’entraîner dans un conflit ouvert contre la Russie (avec toute la probabilité d’une défaite cuisante et beaucoup de morts). Pour se faire une idée de la trahison et de l’impéritie de ces gens-là, il est bon d’écouter les exemples donnés par Alain Juillet (voir ici « Il n’est pas inutile de savoir »). Ce bloc sévit pratiquement depuis le première Guerre Mondiale, a traversé la Seconde, et n’a cessé de faire ensuite le jeu des États-Unis, directement ou à travers leur créature, l’Union Européenne.

-         Un bloc conservateur , celui qui a vraisemblablement fait les choux-gras de la liste Bardella malgré l’allégeance euro-atlantiste du RN. Ce ne sont pas des passéistes, ils veulent simplement que le pays retrouve la maîtrise de son destin pour aller de l’avant sans renoncer aux « murs porteurs » (selon Philippe de Villiers), c’est-à-dire aux valeurs fondamentales qui ont fait la France et la Nation Française. Il n’est pas impossible que les abstentionnistes lui soient quelque peu favorables, mais, puisque ceux-ci ne s’expriment pas ouvertement -en ont-ils les moyens ?- nous ne pouvons que souhaiter qu’il en aille ainsi. L’ennui est que le bloc conservateur est tiraillé entre une allégeance centrifuge à l’UE et à l’Otan, ce qui est le cas apparemment du RN, et une tendance centripète de retour à l’indépendance, à la souveraineté nationale. Cette tendance-là, nous ne pouvons en évaluer la force réelle, les mouvements favorables au Frexit ayant été occultés par la propagande d’État et donc privés de voix. En résumé, ce que l’on peut dire des « conservateurs » est qu’ils s’opposent aux deux blocs précédents et qu’ils semblent avoir la préférence populaire si l’on s’en tient aux résultats de l’élection des législatives de ce mois de juin. Mais cela n’est peut-être qu’un faux-semblant.

Cette situation dans le cadre de laquelle s’affrontent trois blocs antagonistes s’inscrit dans un contexte plus vaste et menaçant. Deux contraintes pèsent sur la vie politique du pays : l’UE (avec l’Otan) et la dette publique.

-         Les trahisons multiples ont totalement asservi la France à l’UE. La France subit les diktats de l’entité ouest-européenne qui eux-mêmes sont inspirés par le maître colonial, les USA. Nous ne sommes plus maîtres de nos lois, de notre budget, de notre économie, de notre politique étrangère ; la Cour de Justice Européenne, la CEDH, La Commission Européenne, dirigent nos gouvernants complices de cette institution fantôme n’ayant d’existence que juridique. Nous subissons à la fois l’atlantisme et la résurgence des nazis qui ont, depuis 1945, opéré en sous-main pour le compte de l’Amérique. Il s’ensuit deux graves inconvénients : a) il est vain d’espérer réformer l’UE de l’intérieur, le système étant précisément structuré pour n’être réformable que par l’assentiment de la totalité des états participants, ce qui est pratiquement impossible étant donné l’hétérogénéité des intérêts particuliers des États-membres de l’UE et, par conséquent b) toute tentative de réforme politique, économique, diplomatique, en France, se heurterait au veto de l’UE avec risque de sanctions.

-         La dette publique.  Celle-ci avoisine aujourd’hui 3 100 milliards d’euros, et représente annuellement quelque 114% du PIB (lequel est d’ailleurs une valeur bricolée, il faudrait rapporter la dette au PNB, à la création de richesse, pour avoir une évaluation exacte de la capacité à la servir). Ce serait difficile, mais gérable si, comme l’Italie, elle appartenait à plus de 80% aux citoyens, mais malheureusement elle appartient à plus de 50% .. à l’étranger (selon un rapport de l’Assemblée nationale 53% de la dette serait détenue par des investisseurs étrangers ; leur identité est tenue secrète !). Ces détenteurs étrangers de la dette publique disposent ainsi d’un puissant levier pour bloquer toute tentative de changer la situation en France.

Nous voilà donc doublement handicapés par deux contraintes héritées des politiques d’abandon menées depuis quatre décennies et pouvant agir simultanément. C’est plus qu’une situation difficile, c’est une menace existentielle. Il n’est pas question de recourir à la mantique politique, le moment des masses humaines nous étant strictement inconnu et imprévisible, donc de prédire le résultat de l’explosion de la « grenade » macronique en termes de rapport des forces à l’Assemblée. En revanche, il est assez aisé de formuler des hypothèses concernant la suite d’évènements résultant de telle ou telle configuration. Nous pensons, nous, que le rapport des forces n’apportera pas de changement notoire par rapport à l’avant-dissolution, et que le pays continuera sa course à la disparition, mais ce n’est qu’une opinion. Admettons toutefois qu’un de ce trois blocs précédemment analysés l’emporte soit avec une majorité relative (donc combinazioni et instabilité servile, 49-3 etc..) soit avec une majorité absolue.

-         L’extrême-gauche l’emporte : l’UE, totalement woke, n’y verrait peut-être guère d’inconvénients, et l’Allemagne ne pourrait que se réjouir de la baisse immédiate du PNB à cause de la pression qui pèserait sur les entreprises Françaises déjà fortement pressurées par l’État. Les délocalisations et les faillites seraient massives, le chaos social s’installerait (avec peut-être la guerre civile). Produisant de moins en moins, le pays ne pourrait plus faire face au service de la dette. En conséquence, les détenteurs étrangers de la dette attaqueraient le marché obligataire Français, d’une part en n’achetant plus d’obligations de l’État Français, d’autre part en exigeant le remboursement des obligations qu’ils détiennent. D’où une incapacité du pays à honorer sa dette, et très vraisemblablement une mise sous tutelle par l’UE et le FMI (situation « à la Grecque » bien connue). Donc échec et asservissement de la France, appauvrissement immédiat de la population.

-         L’extrême-centre mou l’emporte. Macron forme un nouveau gouvernement qui poursuivra sa politique euro-atlantiste et nous mènerait à l’objectif final de la dissolution de la France dans un conglomérat fédéral européen, voire (c’est très probable) à la conflagration avec la Russie et la défaite inévitable avec toutes ses conséquences. Quoi qu’il en soit, la question de la dette ne serait pas réglée, et, le redressement économique étant impossible faute de maîtrise de la monnaie, la même attaque contre la France sur le marché obligataire se produirait probablement. De même, le chaos dû à l’insécurité contribuerait à la diminution du PNB et donc à l’augmentation de la dette.

-         Le bloc « conservateur » l’emporte. A priori, dans l’hypothèse où le trop jeune et inexpérimenté Bardella deviendrait Premier Ministre , il n’est pas prévu de se défaire de l’UE, donc la marge de manœuvre dans le cadre de l’Union est pratiquement réduite à des mesures « cosmétiques ». Macron, demeurant au pouvoir, se souviendrait qu’il dispose d’un arsenal assurant la primauté présidentielle (Conseil d’Etat, Conseil Constitutionnel..) et aurait beau jeu de réduire à néant toute tentative de réforme (par exemple il refuserait un référendum sur l’immigration). Quoi qu’il en soit, l’attaque du marché obligataire pourrait bien survenir, soit inspirée par Macron, soit « spontanée » (pilotée en douce à la manière Américaine !). Dans ce cas, le gouvernement Bardella aurait deux options : soit, comme l’ont fait Tsipras et Meloni, se coucher et obéir aux oukases de la Commission, de la BCE et du FMI (hypothèse la plus probable) soit adopter une attitude « révolutionnaire » (hypothèse peu probable à moins que le Peuple ne l’y contraigne).

L’attitude « révolutionnaire » nécessiterait en effet un soutien populaire massif (et c’est là que pourrait intervenir la réserve des « abstentionnistes) et de recourir à la stratégie très bien expliquée par Charles Gave (voir son interview par Bercoff sur Sud-Radio ou face à Bocke-Coté sur CNews, ou l’émission de l’Institut des Libertés). Je résume :

-         Rendre son rôle à la Banque de France, c’est-à-dire s’affranchir de la dépendance à la BCE ce qui implique :

-         Se libérer de l’Euro et revenir au Franc. Cela permet de payer le service de la dette avec notre propre monnaie sur laquelle nous pouvons agir. Et par conéquent :

-         La sortie de l’Euro entraînant la sortie de l’UE, opérer de facto le Frexit. Et :

-         Bloquer les mouvements de capitaux le temps de faire un audit complet des dépenses de l’État (la Banque de France n’assurant dans l’intervalle que le paiement des coupons). Et

-         Opérer des coupes claires dans la dépense d’État. On éliminerait ainsi les ministères inutiles et coûteux, les associations parasites, les subventions indûment attribuées etc.. Et :

-         Mettre aux ministère de véritables spécialistes et non des énarques (par exemple Charles Prats aux finances, Xavier Raufer à l’Intérieur..).

Tout cela étant conduit simultanément avec un toilettage de la Constitution et du Droit et une réorganisation de l’État et des institutions. Telles sont les mesures de bon-sens qui peuvent paraître utopique en ce moment, mais auxquelles nous pourrions être contraints par la situation. Nous en sortirions certes pauvres, mais libres, libres de reconstruire la France selon nos valeurs culturelles et notre intérêt.

Nous voilà donc dans une situation intéressante, désespérée mais pas sérieuse, comme l’a dit Churchill, et il est peut-être temps de promette que nous n’avons à offrir, pour le moment, que du sang, de la sueur, des larmes, et un effort titanesque pour reconstruire notre pays humilié, asservi, menacé, mais ensuite libéré par son peuple.

L’Imprécateur.

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