Samedi 26 mai en l’an de peste 2012. Le soleil est revenu, mais pour quelques jours seulement : il ne peut pas faire de beau temps sous le socialisme. Me voilà dans un joli bourg, pour faire quelques courses, puisque le ouike-inde va être long. En roulant dans la campagne pour parvenir jusque là, mon regard est agressé par des affiches de l’arnaque électorale : on ne voit, au dos des panneaux de circulation, sur les piles des ponts, sur les poteaux d’électricité, que la tronche du petit médiocre. Pas de quoi me mettre de bonne humeur.
C’est pire encore lorsque je suis contraint d’entrer dans le super-marché. Enfin, dans l’un de ceux-là : la ville est petite, mais elle compte deux grands surfaces plus deux petits « discounts » comme on dit bêtement. A se demander où ils vont pêcher la clientèle, dans ce pays ravagé. Je préfèrerais mille fois retrouver la boutique de Mme B*, ou l’Union, où dans mon enfance l’on trouvait de tout et exactement selon la quantité dont on avait besoin. Mais là, sous les néons, l’agression est constante, on cherche à vous fourguer des compères-loriots.
Je regarde la faune des cons-sommateurs. Pas de ceux qui, comme moi, n’ont pas d’autre choix que d’acheter au prix fort des saletés nocives pour se nourrir (on pensera à manger, c’est-à-dire le contraire de se nourrir, plus tard), mais les abrutis qui affichent la mine réjouie des débiles profonds. Les voilà, le teint viticole, la bedaine en avant, sur de petites pattes dont le ridicule pantalon « feu au plancher » ou pire, le pseudo-bermuda démontable, laissent voir les mollets de coqs. Ils poussent avec jouissance un caddy plein de n’importe quoi, et emportez ! C’est en « promotion ». Tout à l’heure, gorgés d’achats inutiles, ils s’attableront devant l’apéro anisé en regardant sans voir l’immense écran plat à sottises allumé depuis l’aube.
Les voilà donc, électro-encéphalogramme plat, leur seul paléo-cortex, ce cerveau reptilien, titillé de stimuli subliminaux et subacoustiques. Ils sont programmés pour recevoir sans écouter ni voir les abominations du Propaganda Staffel, dans la Cité Radieuse du Tout Socialisme. Je les hais. J’ai beau me dire : « Doucement ! Il n’y en a que trente-neuf sur cents ! Trente-neuf crétins au cerveau de pois-chiche qui ont voté pour le brimborion nullissime. Et encore parmi eux, quelques uns ont voté par défaut, ne sachant que choisir, de la peste ou du choléra ! » Rien n’y fait : j’ai l’impression d’être submergé par un flot de bêtise et de médiocrité. J’étouffe, dans ce boxon.
Je me prends à souhaiter la catastrophe qui, du reste, ne manquera pas d’arriver. Une bonne vieille configuration à la Grecque, que ces braves connards en bavent des ronds de chapeaux : peut-être alors comprendront-ils, lorsqu’ils ne pourront plus remplir stupidement leurs caddies, lorsque même la goutte d’essence vaudra le prix du N°5 de Chanel, que la solution aux problèmes ne peut pas être dans le barnum électoral destiné à reconduire une même caste politique aux commandes d’un pays en naufrage. Mais peut-on espérer un sursaut d’intelligence de la part de microcéphales ? Je ricane, cependant : au rayon des légumes, j’entends une vieille mémé rouspéter du prix des pommes de terre : un euro et demi le kilo, sous emballage. Pour le même prix, j’en aurais cinquante kilos chez le paysan du coin. Elle a raison, mamy-Carmen, en toute logique on devrait étriper les voleurs.
Je sors le plus vite possible du temple maudit : marre de voir ces faces de cons. Qu’ils retournent à leur alcool et à leur télé. Moi, je n’apprécie pas l’apéritif anisé, et j’ai appris à détester le whisky : l’eau de Vichy fait bien l’affaire. Et je n’ai pas de télé, depuis quatorze ans, époque où je tournais mon postérieur vers l’écran chaque fois qu’apparaissait la gueule de Jospin. Imaginez maintenant, si j’avais la télévision : j’aurais le cul à l’air en permanence ! Car c’est la seule et dérisoire réponse que mérite la propagande médiatique.
Je n’écoute même plus la radio. Je le faisais de temps à autre, surtout pour connaître la météo. J’aimais aussi de loin en loin, le matin vers sept-heures un quart, écouter la chronique Z comme Zemmour sur radio Luxembourg (RTL, comme ils disent). C’est fini : je n’écouterai plus « Lusstembourg », ils ont viré le seul personnage digne, parce que politiquement incorrect, Eric Zemmour. Les répugnants cuistres de la direction de cette chaîne de merde ont cédé aux petits fumiers des « zassoc’s », MRAP et SOS-Racisme, c’est-à-dire aux sales fascistes anti-blancs qui couinaient parce que Zemmour avait dit rien de plus que la vérité sur la harpie Taubira, sinistre de l’Injustice siégeant place Fantôme. Saletés ! Ah mais ! Nous avons un avant-goût des mois qui viennent en matière de liberté d’expression !
Le socialisme, cette putréfaction, ne supporte pas la libre expression. Tout doit être calibré
selon le scope rose des bisounours. Mais ne l’oublions pas : le bizounours est une ordure qui sous son minois hypocrite est un dévoreur de peuples. Alors il est évident qu’une vague de répression va s’abattre partout. Nous allons devoir déménager des sites dans des pays lointains, pour que la Gestapo socialiste, cette police politique, ne puisse pas les atteindre. Nous verrons débarquer au petit matin les gestapaches qui faucheront les disques durs et mettront les gens en garde à vue. Garde à vue ! Fixe !
Et pendant que la Gestapo socialiste traquera les patriotes, les barbus du djihad ne seront plus surveillés. Il faut s’attendre à ce qu’une série d’attentats majeurs survienne. Jusque là, ils étaient évités parce que la police et les services secrets tenaient les barbus à l’œil ; désormais, contraints de réprimer leur propre peuple, les policiers ne pourront qu’être impuissants face au véritable ennemi. C’est ça, le socialisme, dans un pays où tout est désormais sous la botte d’une poignée de forbans.
Mais nous ne pouvons pas en rester là ! Ce n’est pas possible ! Il faut que les gestapistes perdent de leur assurance ; qu’ils se sentent en danger, qu’ils aient peur de leur ombre. A commencer par les gestapistes des « zassoc’s », ces vermines fascistes : il sera bon qu’ils regardent désormais par-dessus leur épaule, lorsqu’ils se déplaceront dans la rue, car malgré la répression, il y aura toujours des botteurs de culs ! Et pire si affinité, je vous l’annonce.
Et puisque les merdiats sont à cent pour cent à la botte des rosâtres, voilà un truc pour la guerre des ondes. Il n’est pas besoin de gros matériel : de petits émetteurs, dont les plans sont à la portée de n’importe quel électronicien, très peu coûteux et faciles à fabriquer, feront l’affaire. De quoi couvrir un quartier, un pâté de maisons. Mais des milliers de ces émetteurs, répandus partout, calés sur la fréquence des chaînes merdiatiques aux heures de grande écoute, et nourris de programmes enregistrés de façon à ce que la détection ne trouve que le matériel et pas les gens. Prudence, discrétion dans les approvisionnements, et ne laisser aucune trace. Alors, nous pourrons dénoncer, expliquer, proposer. Cela, messieurs des socialistes, s’appelle : sédition. Et nous vous emmerdons.
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !