Misogynie

(Note de la rédaction : Raymond est particulièrement furieux :) . Nous ne pensons pas que ses propos dépassent sa pensée, ce qui serait impossible, mais sa pensée, si près qu’elle soit de la vérité, n’est pas nécessairement celle de la Rédaction).

Je vais me fendre, une fois n’est pas coutume, d’un couplet misogyne. C’est ainsi : les bonnes femmes commencent à nous emmerder. La féminisation de la société, et notamment de l’administration, conduit à une vraie déliquescence. Alors mettons les choses au point.

Un modèle prototypique existe : la pédégère d’Areva, sexiste, raciste, qui prétend ne plus tolérer dans son conseil d’administration de « mâles blancs ». Normalement, cette hystérique aurait dû être déférée au parquet, ou, mieux, placée en asile psychiatrique. La décadence aidant, elle continue à faire et dire des conneries. Ainsi va notre société pourrie. Mais je viens d’apprendre qu’elle faisait partie des conseillers de Mitrand : rien d’étonnant, donc.

En fait, ce n’est pas une question d’âge : la plupart des femmes ont une glande œstrogène à la place du cerveau. Cet œstrus conduit la femelle humaine à n’importe quoi  et surtout au pire : faire des piscines discriminatoires, inventer un monde de bizounours où le barbu n’est qu’un vague croquemitaine pour petits apeurés, et surtout rechercher frénétiquement le bien-être et, par-dessus tout, le pouvoir.

Le mâle,  dans ce foutoir, n’est qu’un instrument. Elles l’utilisent tant qu’il peut servir, après quoi elles le jettent, recherchant bien vite le prochain âne coiffé qui pourra être entre leurs mains crochues l’agent de leur lubricité et surtout de leur insatiable quête du bien-être. Ce qu’elles ne trouvent jamais, car le bovarysme est une pathologie. Et elles vous déclarent alors tout de go que « le monde bizounours est fatigué » et que vous êtes prié d’aller voir ailleurs, tandis qu’elles recherchent encore et toujours la prochaine victime.

Dès le jeune âge, elles sont comme cela. Il faut bien être idiot pour qu’à seize ans l’on s’amourache d’une chaudasse au cul pommelé et aux nichons agressifs, alors que tout ce qui la motive c’est cette fièvre utérine qui  ne les incite même plus à donner à Satan sa provende d’âmes humaines, mais seulement à rechercher la vaine jouissance d’un instant. La raison, et même l’amour, sont totalement absents de cette manifestation animale.  Heureux l’homme chaste qui parvient à se soustraire des soupires de l’engeance !

Ensuite, elles veulent commander, ces garces, et elles l’ont toujours fait. Elles ont beau couiner à la domination du mâle, en fait ce sont toujours elles qui ont tenu les rênes et mené l’humanité à sa perte. Vient l’âge : 95% deviennent de sales rombiasses, aigries, et que définissent trois adjectifs : stupide, cruelle, nuisible. Regardez-les, ces poires blettes de 40-50 ans, repues de spoliations, âpres à mal  faire, promptes à faire des critiques absurdes, disant du mal de qui passe à qui veut l’entendre. Un vrai pandémonium. Et elles vous disent tranquillement, ces vipères, qu’elles vous ont consacré les plus belles années de leur vie ! Ah, les infâmes !

Ce sont les gourdasses malfaisantes de la caste politique qui les représentent le mieux : promptes à un ordre moral de façade, autoritaires et malfaisantes, les Royal, Aubry, Bachelot, Duflot, et tutti quanti.. Toutes parfaitement nocives. Mais quel est le con qui a donné le droit de vote à ces  harpies ?  Un humoriste du XIXe remarquait que de tous les animaux, l’homme était le seul à foutre des râclées à sa femelle, et commentait ainsi : « peut-être de toutes les femelles, la femelle humaine est-elle la plus insupportable ? hypothèse somme toute fort vraisemblable ! » Il avait raison.

Et des 5% qui restent ? Facile : 4 sur 5 sont des paumées pleines de problèmes, qui vous envahissent le cœur puis virent assez facilement à l’hystérie, vous laissant pantelant et le cœur saignant, sans comprendre ce qui vous arrive. Elles non plus, ne comprennent pas, et s’imaginent être guéries de leurs fantasmes. Alors elles n’éprouvent aucune culpabilité, et font preuve d’un cynisme aussi écœurant que celui des rombiasses. Ah ! Alors, elles n’hésitent pas à vous jeter dehors en plein hiver, et à rechercher le prochain âne coiffé pour le déchirer. Camarades mâles qui avez été sans le savoir l’objet de transferts inconscients, qui avez innocemment, complètement à votre insu, remplacé le père dans une relation incestueuse insoupçonnée, ragez ! Car là encore, vous n’avez été que des objets.  Il ne demeure que 1% de femmes-femmes, vraies mères et dignes de la Grande Déesse. Celles-là sont si rares que si d’aventure il s’en rencontre, mieux vaut les mettre sous cloche.

99% de déchets : c’est le lot de l’humanité. Je n’aime pas du tout les zélateurs de la kabba, mais parfois je me dis qu’ils abordent correctement la question féminine. A 99%.

Raymond.

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