Pour commencer avec du rire, voyez cette blague qui court sur le Net en ce moment :
« C’est pas faux », dirait Perceval. L’auteur de cette plaisanterie décrit en quelques lignes l’un des problèmes majeurs de la France. En tous cas, un qui ne doit pas se sentir bien dans ses bottes, c’est notre Mussolinito. Il se fait le commis-voyageur d’un budget parfaitement ridicule, et d’une politique franche comme un âne qui recule. Pas de veine : ça n’a pas l’air de marcher du tout. « My government is pro-business » dit-il aux financiers de la City. Je suppose que ces gentlemen ont dû penser tout bas : « Of course ! Thanks to you, we receive thousands of French entrepreneurs in Great Britain. » Le plus marrant dans l’affaire c’est qu’un premier ministre du sire de Tulle vienne proférer son mensonge au cœur même de cet « enfer » de la finance qui donne des boutons à son maître. Mais il faut bien essayer de vendre la politique avariée sur la place internationale, alors on fait des tas de promesses. De celles qui engagent ceux qui y croient.
Catalogue : suppression dès le 1er janvier de la «taxe à 75 %» sur les revenus, des baisses d’impôts pour les ménages et les entreprises. 40 milliards d’allégements de charges, dérégulation des professions réglementées (rires sardoniques des Libéraux), réforme des seuils sociaux, ouverture des commerces le dimanche. Et un raton-laveur. On se demande où il trouverait une majorité pour le suivre, dans une Assemblée à majorité gauchiste ! Ensuite viennent les pétitions de principes : on va faire la reprise, on va faire 50 milliards d’économies sur trois ans, dont 21 milliards dès 2015. Ben voyons ! Comprenez : on va rogner çà et là, par exemple le budget de la Défense, mais pas question de toucher au sociâââl. Donc pas question de dégraisser le mammouth. En fait, nous entendons ce méli-mélo depuis deux ans et demi, et nous plongeons. S’imagine-t-il que les financiers de la City vont le croire ? D’autant plus qu’il fait cet aveu final : pas moyen de faire moins de 4,3% de déficit l’an prochain, sinon on empêcherait la reprise. Ah bon ? Autrement dit, la « reprise » c’est une politique de subvention de la consommation et non une politique de l’offre consistant à lâcher les basquettes aux entreprises ?
Poudre aux yeux que tout cela : encore une fois, les fanatiques de gauche n’y consentiront jamais, et si d’aventure Valls était sincère, il pourrait connaître des nuits blanches avec tous les totalitaires attachés à ses basques.
En tous cas, il n’a pas convaincu en Europe : « A première vue, écrit Nicolas Beytout, les efforts de notre Premier ministre « pro-business » n’ont pas encore été couronnés d’un franc succès. L’Allemagne, exaspérée par notre désinvolture dépensière, reste hostile à toute demande de dopage de l’économie. Comme elle, l’Europe du Nord nous prend pour d’irréductibles keynésiens. Et Pierre Moscovici ressent ces jours-ci à Bruxelles l’humiliation d’être pris pour ce qu’il est: le énième ministre des Finances français à échouer sur les déficits. Il y a malheureusement peu de chances pour que Londres se montre plus indulgent à notre égard. » On dit même que la commission européenne, excédée, s’apprête à refuser le budget Français. Ce qui, au passage, serait bien fait, mais, à l’autre passage, montre qu’il faudra bien un jour revenir sur les traités et retrouver notre souveraineté. Pas pour faire une politique socialiste, évidemment !
Côté civilisation et fondements de la société, il y a bien des choses à dire aussi. La Manif’ a révélé que, malgré l’apathie générale, il y a encore des citoyens qui n’acceptent pas les distorsions perverses des politiques Bitaura-Belkacem. La « convention européenne des drwâââ de l’ohm » (CEDA) a même balancé le pavé de l’ours dans le mic-mac « mariage pour tous »-PMA-GPA en obligeant la justice Française, en contradiction avec nos lois, à reconnaître la validité d’une adoption GPA. Au passage encore, preuve est ainsi faite que nous devrons, en post-socialisme, dénoncer les traités et rétablir la primauté du droit national sur le droit européen et international.
Quoi qu’il en soit, il y avait du monde dans les rues de Paname, dimanche. 500 000 citoyens… c’est peut-être un peu exagéré, mais 70 000 selon les flics de Fleur-de-Nave, c’est nettement exagéré aussi. À mon avis, ce n’était pas mal pour une reprise, mais pas assez. Il faut dire que les pervers et leurs serviteurs gouvernementaux avaient fait donner la très grosse artillerie. D’abord un sondage mensonger prétendant que « seuls » 31% des Français étaient contre les délires des « lois » favorisant les déviances. Mais ça fait un tiers, ça, presque autant que la proportion du corps électoral qui a élu le sire de Tulle en 2012 ! En réalité, il y a très certainement bien plus de monde que ça à s’y opposer. Ensuite, une campagne des « jeunes socialistes ». Ah ! Comment peut-on être « jeune » et adhérer à une idéologie qui sent le rance ? En tous cas, ces petits crétins ont lancé une campagne honteuse d’affiches montrant des viols et harcèlements, avec pour slogan idiot : « s’il avait appris à l’école qu’une femme n’est pas un objet, il ne l’aurait peut-être pas violée ». Ridicule ! Un prédateur même « éduqué » reste un prédateur. On aurait pu aussi bien représenter le sire de Tulle et l’une ou l’autre de ses ex avec le slogan : « s’il avait appris à l’école qu’une femme n’est pas un objet, il ne l’aurait peut-être pas virée comme une malpropre. » C’est là qu’on retrouve Laura Slimani qui « assume ». Cette écervelée, l’an dernier, clamait comme une petite hitlérienne « nous enseignerons le genre à l’école ».
Ce qui montre à l’évidence que le projet fasciste des « jeunes » socialistes est bien de court-circuiter les familles dans l’éducation et de bourrer le crâne des enfants avec des idées déviantes. Mais c’est pire : ces petits cons essaient de faire croire que les gens de la Manif’ sont partisans du viol et de la brutalité, alors que ce sont les militants de gauche qui font le viol des foules et imposent brutalement les déviances. Il faudra que les comptes se règlent, jeunes gens !
Et puis, j’ai suivi le chrono de la Manif’ sur Le Figaro, et j’ai lu les commentaires au fur et à mesure que se déroulait la manifestation. Marrant : on aurait dit que les « contributeurs » se croyaient à Libé ou Têtu ! Ils ont carrément envahi l’espace du Fig pour clamer leur idéologie, vanter la perversion, fustiger les « réacs », lancer des invectives. Sans jamais aucun argument politique. Vous me direz que moi aussi, j’invective : oui, mais ChezRaoul, nous avons des arguments politiques et surtout anthropologiques à opposer aux auto-proclamés « progressistes », demandez à Vautrin ! En tous cas, on ne me fera pas croire que c’est un hasard : il y avait bel et bien une action concertée des « progressistes » pour saturer les tribunes des journaux, en appui à la politique perverse du gouvernement. Ce n’est pas, tactiquement, une mauvaise idée, d’ailleurs, et j’espère que l’opposition nationale en prendra de la graine lors des prochaines manifestations gauchistes.
En tous cas, la Manif’ a raison de ne rien lâcher et de tout faire pour empêcher que les lois perverses soient banalisées au point que la caste politique n’y touche plus. Un petit résultat : Morfalou aurait dit qu’il fallait « réécrire » la « loi » Bitaura. Ce n’est pas suffisant : Marion Maréchal-Le Pen, elle, a honnêtement dit qu’il fallait l’abroger. Oui !
Toute action combattant l’apathie populaire est bonne à prendre. Et puisque l’épargne des ménages représente six fois le montant de la dette, il ne serait pas mauvais que les prêteurs internationaux exigent le remboursement : le gouvernement serait obligé de spolier 1/6 des bas de laine. Peut-être que ça ferait bouger les gens ! Patience…
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !