Aux armes, nom de Dieu !

Oui, moi l’anthropologue rassis, le lettré, je vais cette fois laisser déferler un torrent de haine. La dernière fois, c’était il y a longtemps, à propos d’une manifestation trotskysto-islamiste en faveur des assassins du hamas. Ce jour-là, j’aurais disposé d’une sulfateuse, j’aurais volontiers tiré dans le tas. Aujourd’hui, comme le fantôme d’un membre coupé, la MG42 me fait souffrir par son absence. C’est ainsi, et l’état de pourriture sociale en est complètement responsable. 

Donc, récemment Raymond se réjouissait que le Tribunal de Strasbourg ait prononcé un non-lieu dans l’affaire qui opposait le plaisantin Calimero aux traîtres pro-islamistes. Les juges avaient fort sagement conclu qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre un citoyen pour blasphème. Il reste quand-même des juges intelligents et intègres dans ce pays ravagé.

Oui, mais voilà : les procurateurs du Parquet (machin en bois fait pour marcher dessus) ne l’entendent pas de cette oreille, et, cédant soit à un chantage soit à la dhimmitude, font appel. Là, c’est un comble. Et je pèse  les mots que j’écris : il y a des salopards pour contester une décision légitime de justice. Il y a des traîtres pourris qui,  à défaut d’obtenir une « loi » (quelle dérision ! par les temps qui courent, ils n’ont heureusement guère de chance) contre le blasphème, s’efforcent d’obtenir une jurisprudence condamnant le blasphème, et singulièrement celui contre la religion chamelière. Et il y a des FONCTIONNAIRES (car un procureur est fonctionnaire) payés par nos impôts pour les suivre et tout simplement trahir les lois fondamentales de ce pays. C’est non seulement ignoble, mais cela mérite le châtiment suprême réservé aux traîtres.

Nos Anciens avaient réussi à tenir les religions en lisière de la vie publique, et, compte tenu des dégâts occasionnés par la superstition, ils avaient parfaitement raison. Car rien ne justifie l’intrusion de fables antédiluviennes dans la vie de la Cité. Si quelque imbécile veut croire des fariboles, libre à lui ; mais il n’est aucunement fondé à prétendre faire marcher la Cité sous le joug de ses délires. Et s’il est quelque crétin débile de fanatique voulant imposer la tyrannie de sa folie, le devoir de tout citoyen est de mettre le fou hors d’état de nuire. Par tous les moyens.

Aujourd’hui, on sait quelle est la maudite superstition à l’oeuvre. Tout le monde sait, à part les infâmes traîtres qui en font une RATP, que c’est une mythologie fondant une divinité stupide et cruelle, à l’usage de gens cruels et stupides. Eh bien, désolé, bande de dégénérés, mais l’on a le droit de conchier le coran, voire les évangiles, la bible la thora, les védahs et même le popol-vuh, bref, toutes les opiacées inventées par des brigands pour asservir.  Et si par malheur -tout est possible dans l’état de décrépitude de cette fichue société- vous arriviez à faire stipuler du contraire, sachez que vous récolteriez du plomb chaud. 

Vautrin

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