Malédiction

cochon du ramadanOn dit : « con comme la Lune ». Il est très évident que dans ce cas – et dans ce cas seulement – la Lune et l’islam ont un point commun. La preuve : les bédouins arriérés obéissent au calendrier lunaire. L’année, sur les terres de cailloux et de scorpions, comporte 12 mois de 29 à 30 jours en alternance et dure 354 jours, soit un nombre entier de lunaisons. L’écart par rapport au cycle solaire, bien plus régulier, lui, est d’environ 11,25 jours par an. Il provoque très vite une dérive des mois lunaires à travers les saisons. D’où la perplexité des barbus : quand donc commence le ramdam ? De quoi se taper le postérieur par terre.

C’est que ce mois flottant-là est vachement important. Par hypocrisie, on n’avale rien entre les glapissements matinaux et nocturnes du muezzin, pas même le droit de tirer une bouiffe de clope, pas de commerce avec ces êtres déclarés coraniquement inférieurs que sont les femmes. Hypocrisie, car officiellement ce micmac est pour partager les affres des pauvres n’ayant rien clapper ; sauf que les pauvres, eux, n’ont pas les moyens de se payer un iftar pantagruélique. Dès que le haut-parleur du minaret a fourgué sa salate, dans les cités on n’entend plus que le tintement des couverts, le claquement des mandibules, les borborygmes de déglutition. On s’en fout plein la panse, à s’en faire péter la sous-ventrière. On rote « hamdullah ! » puis on file tringler les bobonnes pour fabriquer des petits djihadistes.

La java nocturne prive de sommeil réparateur, et voilà le dévôt parti au boulot. Quand il travaille, bien sûr.  Remarquez, même quand il fait profession de soutenir les murs, les effets secondaires sont les mêmes : fatigue, agitation nerveuse, perte d’attention, parfois hypoglycémie, agressivité accrue. Le ramdam est potentiellement dangereux, et les prêches fanatiques des imams le rendent facilement holocaustique.

Ce qui, chaque année, n’empêche pas les politicards de l’horizon bisounours-remplaciste de féliciter les musulmans : ramdam mabrouk ! Ahurissant : les socialistes bouffeurs de curés se font lécheurs de culs d’imams. Il n’y a pas qu’eux : les « républicains » tout aussi bien. Il faut les voir, ces gueux du caniveau politique, les Hollande, Valls, Hidalgo, Juppé et j’en passe des centaines, bassement flatter l’envahisseur dont les mœurs sont exactement à l’opposé de celles qu’eux-mêmes professent. Ah ! Paris vaut bien une sourate. Une voix dans l’urne est une voix dans l’urne, le tout est de durer, en supposant qu’une fois assez forts pour gagner, les protégés épargneront leurs bienfaiteurs. Et si vous n’êtes pas contents, citoyens, on va vous contraindre au  « vivrensemble » manu militari, on va suivre l’idée de Rafarin : vous colloquer du migrant pour repeupler les villages !

Naturellement, le citoyen pense avec raison que l’attitude des brigands qui prétendent gouverner ce pays devrait être sanctionnée. Que leurs têtes devraient rouler dans le panier de la guillotine, leurs carcasses dessécher aux fourches patibulaires, les feux des pelotons d’exécution claquer au petit matin. Il rêve de cela, le citoyen, mais il ne bouge pas, calé entre son grand écran, sa bagnole payée à kroum, ses vacances et ses allocs. Il attend que d’autres bougent à sa place : c’est la fable de la Grenouille Cuite.  Hélas, nous sommes bien peu à vouloir passer à l’action, et les tyrans dorment sur leurs deux oreilles sans qu’un exécuteur ne leur crie « sic semper tyrannis ! » Nom de Zeus, citoyens, quand donc allons-nous « porter des coups à l’ennemi à travers les filets tendus des policiers et des délateurs » ?

C’est égal : en guise de voeux, je souhaite aux assassins du daech, califat islamique, et à leurs partisans, un ramadan destructeur. Qu’il ne reste pierre sur pierre de leurs casbahs. Que leurs femmes enfantent des crapauds. Qu’ils crèvent de malepeste ou d’indigestion de neutrons. Et à tous les hypocrites pratiquant la taqia en faisant mine de modération, je souhaite un ramadan désastreux. Qu’ils tombent dans la sixième bolge du huitième cercle de l’enfer de Dante. Les autres –s’il y en a- je ne leur souhaite qu’une bonne indigestion suivie de diarrhées et vomissements. Juste pour leur apprendre à vivre.

Raymond

Ps : Oui, señor premier ministre, oui, messieurs les chats-fourrés, c’est un discours haineux. Et alors ? Ils nous haïssent bien, eux !

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