Débarrassons-nous de ceux qui ont appelé le fléau

A reboursIls sont ignobles, ceux qui essaient au moyen des arguments les plus spécieux de blanchir le salopard djihadiste qui s’apprêtait à commettre un crime abject dans le Thalys. Tout cela pour essayer, au nom du « Padamalgam », de tenir les électeurs socialistes musulmans hors du coup. On a même peine à imaginer comment des êtres théoriquement doués de raison arrivent à innocenter les coupables par une dialectique si perverse que n’importe quel sophiste en aurait honte ! C’est qu’ils n’ont plus de raison : ils sont FOUS.

Cela me conduit à renchérir sur mon billet d’hier. Car s’il est vrai que nous sommes maintenant dans l’obligation de nous substituer à l’État qui abandonne son rôle régalien de protection, en faisant cela –et il FAUT que nous le fassions, et certains d’entre nous commencent à le faire – ce faisant, donc, nous nous attaquons aux conséquences d’une politique. D’une politique commencée en 1974 avec le « regroupement familial », et qui au fil des décennies n’a fait que s’amplifier jusqu’à devenir celle d’un « grand remplacement » de population.

On aura beau nous faire croire que la faute en incomberait aux industriels désireux de tirer parti d’une main-d’œuvre peu qualifiée que l’on pourrait payer au lance-pierres. Peut-être en était-il ainsi au début, je ne sais. J’en doute, car déjà en 1974, la révolution scientifique et technique appelait davantage une main-d’œuvre instruite et qualifiée que des pousse-cailloux. Mais l’argument perdure : Merkel prétend que son Allemagne a tout intérêt à recevoir ces fameux « migrants » (moi, j’appelle ça des envahisseurs) car elle manquerait de main-d’œuvre.

Mais enfin, de qui se moque-t-on ? Regardez un peu, sur les sites de réinformation, ces hordes africaines essayant de prendre d’assaut les frontières, refusant de consommer de la nourriture qui ne serait pas halal (s’ils n’en veulent pas, qu’ils crèvent !) : ce sont des Bac moins quinze, parfaitement inadaptés et inadaptables aux pratiques modernes de production. Non, cette humanité-là n’a absolument pas sa place dans nos contrées ; elle est à la recherche d’espace vital, afin de nourrir sa paresse et de subvertir des pays développés sous une religion infernale. Et le pire est que l’on gaspille l’argent public, extorqué aux contribuables, pour nourrir, vêtir cette armée d’invasion, sans parler des soins gratuits et des I-pads. Il n’y a rien à espérer de ces envahisseurs, seulement à redouter notre ruine.

Car si ces claquedents avaient quelque habileté à produire, il est bien évident qu’ils auraient produit d’abord chez eux. Quitte à se débarrasser eux-mêmes des tyranneaux locaux, état islamique compris. Mais tel est le barbare : fasciné par les richesses de l’Occident, il s’imagine pouvoir en bénéficier sans contrepartie. Fainéantise, arrogance : tout leur est dû. Et malheureusement ils trouvent écho dans les castes les plus perverties de notre propre société, y compris chez les curés enchristés qui bêlent au nom de la charité. Trop de charité mène nécessairement à son antithèse, la charia. L’avantage pour les brigands qui gouvernent est évidemment qu’à terme ces masses sous-développées sont appelées à devenir des électeurs socialistes, en vertu du dicton : « si le peuple n’est pas pour nous, changeons de peuple ».

Donc la racine du mal est POLITIQUE. Elle réside dans une volonté perverse de la caste politique de livrer nos pays au sous-développement et à la barbarie, en habillant cette entreprise criminelle des oripeaux d’un humanitarisme de pacotille. Le résultat le plus visible, en dépit des précautions prises pour le cacher, est la prolifération des djihadistes dans nos murs. Nul doute que les traîtres en retirent une rente de situation ! Voilà qui complique notre tâche, car s’il faut répondre au coup par coup à l’agression, il faut également combattre, contrebattre les responsables qui appellent le fléau. Combattre et éliminer toute cette caste politique abreuvée d’une idéologie délétère, et qui tient le haut du pavé. Elle est partout, à l’Élysée, à Matignon, au Palais Bourbon, au Luxembourg, dans les conseils de régions, dans les conseils départementaux, dans les mairies, mais tout aussi bien dans les nids de frelons que sont les institutions européennes à Bruxelles et à Strasbourg. S’il en allait autrement que je l’affirme, les marines des pays du sud de l’Europe recevraient l’ordre de stopper manu militari ce trafic. Or elles n’ordonneront pas aux bateaux de rebrousser chemin, pas plus que les pays ne seront autorisés à renvoyer l’envahisseur sur ses bases de départ. Une colossale trahison des pseudo-élites, donc de la caste politique, organise la subversion de l’Europe. Au vu et au su de tous les citoyens, en réprimant férocement ceux qui contestent cette politique mortifère.

C’est assez ! Nous savons bien que la solution n’est pas dans les urnes : tout est tellement verrouillé, organisé pour que cet état de trahison perdure, qu’il n’y a rien à espérer d’une hypocrite « alternance » entre rufians d’étiquettes politiques différentes mais de même idéologie. Le seul moyen possible, aujourd’hui, revêt la forme d’une insurrection armée bien organisée. Nous devons détruire le démon en même temps que nous détruirons ses créatures. Il n’y a pas de solution alternative.

Au maquis !

Sacha

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