Assez de la compassion stupide et de l’épanchement sentimental écoeurant !

autruche.mahometLes vautours médiatiques ont apporté une aide sérieuse aux politiques organisant le remplacement de population. Ils savaient ce qu’ils faisaient, en s’adressant non pas au néocortex des télévoyeurs, mais à leur paléo-cortex, ce cerveau reptilien siège des émotions, des peurs, envies et ainsi de suite. Voici bien une preuve de la décadence de notre race depuis que le débordement affectif a remplacé la froide raison. Les héritiers putatifs de Rousseau réagissent comme des animaux inférieurs, incapables qu’ils sont d’analyser une situation politique. Hier, ils étaient quelque 8500 à 10000 à bêler stupidement en faveur de l’accueil des « réfugiés » ; comme d’habitude, les gens en vue, histrions, millionnaires sportifs, lancent des appels désespérés à la compassion. Onze maires gauchistes sont prêts à imposer à leurs concitoyens la promiscuité avec l’envahisseur et espèrent mobiliser des centaines de leurs collègues.

Fort heureusement, 55% des citoyens répondent « non » à l’invasion. J’écoute, j’entends, je comprends, j’approuve leurs arguments. Ils disent avec raison que l’État n’assure plus leur sécurité et que les plus malheureux d’entre eux ne reçoivent aucun secours, alors que les « réfugiés » sont accueillis, nourris, logés, habillés aux frais des contribuables, en une époque de crise grave où les revenus ne cessent de s’étioler, où la vie de toute une catégorie de citoyens devient précaire. Ils perçoivent derrière cette politique une formidable injustice : ils ont parfaitement raison.  En ouvrant grand les portes de l’invasion, les politiciens apportent aussi les ferments de la guerre civile.

Il ne faut pas se faire d’illusions : l’envahisseur n’est pas un « réfugié ». Cette appellation ne s’applique qu’à des personnes momentanément déplacées et dont le destin est de retrouver leurs pays une fois le danger passé. Ce n’est absolument pas de cela qu’il s’agit. Ceux qui arrivent par milliers sont là pour rester. Ainsi que je l’ai déjà écrit, ils font de l’Europe leur espace vital, ils sont en position de conquête. Pour eux il n’est question ni de s’intégrer ni de s’assimiler, ils importent leurs mœurs, leur religion, leurs langues, leurs communautés au sein de ce qui, naguère encore, fut une civilisation. Ils importent la barbarie du tiers-monde. Nous assistons en direct à un effondrement aussi colossal que fut celui de l’Empire Romain.

Ils apportent la violence. Que ne regarde-t-on avec attention les photos de l’invasion, où, ainsi que le soulignait hier notre ami Raymond, on constate que les arrivants sont en écrasante majorité des hommes mâles, prêts à s’incruster en attendant que leurs familles bénéficient du regroupement familial ? Cela, les politiciens ne sauraient l’ignorer, ou alors ce sont de fieffés imbéciles. Forcer les citoyens autochtones au « vivre ensemble », à subir la promiscuité d’êtres avec lesquels ils n’ont aucun trait civilisationnel en commun, c’est très exactement leur faire violence. Et cette violence est intolérable. Elle appelle d’autres violences, car tôt ou tard les citoyens autochtones seront contraints de faire jouer ce vieux réflexe de survie que les politiciens, guides et illuminés, ont tenté de tuer en eux. Le réveil pourrait bien être sanglant.

Cet imbécile de Sarkozy, grandement responsable avec son complice BHL, de l’instabilité africaine, prétend avoir honte de la « brutalité » de Le Pen Marine. Mais n’est-ce pas une brutalité bien pire, de vouloir nous forcer à la tiers-mondisation, aux guerres tribales, à la prosternation religieuse ? N’est-ce pas là le projet néfaste que stupidement le pitre BHL révèle en clamant qu’il faudrait accueillir cent millions d’immigrants en Europe ? N’est-ce pas un énorme mensonge de présenter l’invasion comme une « chance » pour les pays européens, alors que l’on importe des millions d’incompétents parfaitement inutiles à l’économie, et dont on sait très bien qu’ils vivront en parasites ? Si ces envahisseurs avaient un tant soit peu de courage, ils combattraient chez eux. Ils travailleraient à développer leurs pays. Or qu’ont-ils fait de la manne de l’aide au développement ? Absolument rien. Alors fou est celui qui pense même un bref instant que l’invasion est une aubaine. Elle ne l’est, aubaine, que pour les ennemis civilisationnels qui rêvent d’un califat mondial.

J’invite les 55% de citoyens raisonnables à s’organiser afin de ruiner, par tous les moyens (je dis : tous les moyens) les funestes projets des gouvernements d’Europe de l’Ouest, à soutenir les peuples qui, comme la Hongrie, barrent leurs frontières. Que l’on combatte la compassion bestiale, et que l’on réfléchisse enfin ! La voie à imposer est celle de la remigration avec l’instauration d’un cordon sanitaire. Nous n’avons aucune raison de nous sentir coupables : les coupables sont au pouvoir ici et là-bas, dans les terres de cailloux et de scorpions. C’est contre eux que doit se porter la colère des peuples. Halte à la compassion à deux sous et à l’épanchement sentimental !

Sacha

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