Il n’est plus douteux que nous sommes passés à une nouvelle étape dans l’affrontement entre ce gouvernement de rencontre, valet des milliardaires mondialistes et de leur finance, et le peuple.
La vie d’une société n’est évidemment pas d’ordre logique. La logique est simplement la manière dont nous en parlons. Cependant, il y a, pour qui prend soin de consulter l’Histoire, des constantes dans l’évolution des sociétés. Tout simplement parce que l’homo politicus fonctionne d’une manière constante, quelle que soit la société. Il y a fondamentalement à la racine non pas le « contrat social » rousseauiste qui verrait la société comme l’agrégat de volontés individuelles, mais d’une part la structure formelle qui nous fait à la fois alter (autre, différent) et autrui (pour l’autre), une forme à deux faces. D’autre part le réinvestissement de cette analyse formelle (et implicite, donc inconsciente) que nous faisons dans du « politique », c’est-à-dire de la société. En somme, il n’y a de société que par acculturation de l’agrégat naturel, avec toutes les configurations que l’on peut observer dans le temps (Histoire) et dans l’espace (Géographie).
Alors, il suffit de consulter l’Histoire pour constater qu’une civilisation et les sociétés qui la composent suivent un trajet allant de la naissance à la croissance, à l’acmé puis à la décadence et à la disparition. C’est ce que j’ai déjà illustré par le schéma ci-contre :
Or, dès qu’il y a société, se pose la question du pouvoir. J’ai déjà établi (voir par exemple ici) la distinction entre la délégation régalienne et la délégation démocratique. L’une concerne la conservation même de la société : Défense, Sûreté, Diplomatie ; de celle-ci, j’ai dit que la délégation ne peut en être d’ordre électif, car elle joue sur la long temps et ne saurait être remise en cause à chaque élection régalienne. L’autre concerne le modus vivendi au fil du temps, sujet à des modifications, voire à des palinodies, sans que cela ne nuise fondamentalement à l’existence de la société ; là s’exerce sans trop d’ennuis la démocratie.
Dès lors, l’observateur attentif est en mesure de constater que les deux formes de délégation du pouvoir ne peuvent exister l’une sans l’autre : l’État pour le régalien, les Collectivités pour le démocratique, et ce qui est donné de voir immédiatement est la résultante des deux. Il est alors assez tentant de traduire ce jeu entre les deux pouvoirs sous forme trigonométrique.
Tout se passe comme s’il s’agissait d’un triangle rectangle dont la base constitue la part de la démocratie (donc de l’autonomie collective) et la hauteur celle du régalien. La résultante est ce que l’on observe et que ni les commentateurs politiques ni les ânes de Science-Po sont en mesure d’analyser.
C’est ce que schématise l’image ci-contre : en bleu la part de la démocratie, l’horizontalité, en vert la part du régalien (représenté par l’État), la verticalité. L’hypoténuse -la résultante- n’existerait tout simplement pas sans l’une ET l’autre. Faute de quoi il n’y a pas de société, c’est le chaos anarchique par absence du régalien, ou la tyrannie par absence du démocratique. Tout est question de rapport entre les deux composantes.
Il existe un état d’équilibre théorique, lorsque les deux composantes sont égales, le triangle rectangle isocèle. Mais cet équilibre est par définition instable, correspondant à une résultante minimale : en théorie, plus rien ne bouge. Tant que l’on est en-deçà de cette limite, l’État assure la sécurité de la collectivité qui, pour sa part, s’organise pragmatiquement par convention(s). Lorsque l’on est au-delà de cette limite, l’État prend le pas sur la démocratie, et l’on s’achemine vers la tyrannie. La petite barre violette de la démocratie rétrécit comme peau de chagrin.
Voilà où mènent les abandons de démocratie, plus exactement d’autonomie, au profit de l’État. Devenu pourvoyeur de prébendes et de subsides, l’État s’est arrogé le droit d’intervenir dans la vie des citoyens. C’est la fameuse fable de la Grenouille Cuite : insensiblement ça chauffe jusqu’à bouillir, et la grenouille en crève. « L’État-nounou » vous infantilise, vous berce dans une torpeur mortelle jusqu’à faire de vous des esclaves. Vous perdez, de renoncement en renoncement, toute votre autonomie.
Alors, il ne faut pas s’étonner de ce qui se passe (et se « pass ») actuellement : le fruit est mûr pour les tyrans mondialistes, il existe sans doute une majorité arithmétique prête à renoncer une fois de plus à l’exercice de son autonomie dans l’espoir fou, vain, ridicule, de sauver sa peau face à un virus qui n’est en réalité qu’une galéjade. Nous sommes à l’avant-dernier stade avant le « grand reset » de Schwab. Se coucher, refuser de combattre par sottise et peur, c’est se condamner absolument à la fin de toute démocratie, tomber dans l’assujettissement numérique d’une non-société (puisqu’il n’y a plus de frontières, qui pourtant sont indispensables à la vie sociale) soumise au flicage et à la consommation : ne pas se battre, c’est tout simplement revenir à l’état de bête du troupeau.
Mais il est possible de forcer la marche inverse, de ramener la planéité de l’hypoténuse, de la résultante, à ce qui est tolérable, à ce qui permet l’autonomie des citoyens et des collectivités sans pour autant perdre la garantie du régalien (limité à ses trois rôles !). À mon avis, la rapport du démocratique au régalien devrait approcher 4 pour 2, ce qui donne une résultante observable de 4,472. Cela suffirait à garantir l’efficience et la solidité du régalien et la prospérité des citoyens et communautés autonomes, mais ce n’est qu’une opinion et je refuse à devenir un « faiseur de système ».
Le premier pas, dans la configuration actuelle, est de bander notre volonté, de mobiliser les forces actives, d’en appeler à l’instinct de survie de la société, donc de refuser l’apartheid social entre vaccinés et non-vaccinés. Car une telle société n’en est plus une, ce sont deux mondes antagonistes.
Et lorsque l’on prend la peine de réfléchir à la vacuité des arguments mis en avant par le gouvernement -vacuité des arguments prétendument « scientifiques » ou sanitaires face à la réalité (et non à la représentation qu’en donnent les médias de grand chemin) de la maladie, vacuité de la croyance en l’efficacité de pseudo-vaccins auxquels le virus mutant fait faire la course à l’échalote, vacuité de l’argument du rapport « bénéfice/risque » qui a tout du mercantilisme et rien de la sagesse- on ne peut que conclure à un guet-apens tendu au peuple sommé d’abdiquer à terme de toute autonomie.
Samedi 24 juillet, en dépit des mensonges de la clique gouvernementale (dont l’Intérieur) et de ses médias corrompus, ce n’est pas une poignée de citoyens qui est montée au créneau, ce sont des centaines de milliers qui, par tout le pays, se sont levés ! Et cela en plein mois de juillet, alors que les lâches Institutions soi-disant gardiennes de la « république » plongent dans l’égout. Cela ne s’était pas vu depuis 1830 ! Le « pouvoir » confisqué a certainement peur et essaie tant qu’il peut de minimiser l’évènement ; il n’est pourtant pas encore prêt de s’effriter, il a ses « robotcops » et ses flashballs. Mais il est temps de cogner contre la cuirasse du monstre : boycott des lieux soumis à passeport sanitaire afin de contraindre les propriétaires-exploitants lésés à faire pression sur le « gouvernement », grèves (cela commence dans les hôpitaux, me dit-on), blocage brutal du pays. IL FAUT QUE LE POUVOIR SOIT CONTRAINT DE CÉDER. Si cela ne suffit pas, il faudra songer à des actions plus contondantes, et vous savez ce que je veux dire.
Sacha
Share
Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !